Le Fonds Monétaire International (FMI) a recommandé à l’Algérie de réduire les déficits à une cadence modérée, c’est ce qui ressort mercredi d’une note de conjoncture de cette institution financière qui
La poursuite de la chute des prix du pétrole a un impact considérable sur les équilibres macroéconomiques et sur l’activité de la plupart des secteurs économiques, monétaires et financiers en Algérie, révèle
A la suite des déclarations du ministre des Affaires étrangères d'Algérie au sujet de la politique africaine du Maroc, le chargé d’affaires de l’ambassade d’Algérie à Rabat a été convoqué, hier soir, au si&eg
Othman Benjelloun, Président du GPBM. Le groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) réagit aux déclarations du ministre des Affaires étrangères d'Algérie au sujet de la politique africaine du Maroc. Lire aussi : Rappel en c
A la suite des déclarations du ministre des Affaires étrangères d'Algérie au sujet de la politique africaine du Maroc, le chargé d’affaires de l’ambassade d’Algérie à Rabat a été convoqué, hier soir, au si&eg
Le Trésor public en Algérie a besoin de près de 570 milliards de dinars pour couvrir son déficit jusqu'à fin 2017, a affirmé, jeudi à Alger, son directeur général, Fayçal Tadinit, mettant en avant l'"efficac
L'érosion des réserves de change en Algérie se poursuit encore, a déploré mardi à Alger le ministre algérien des Finances, Abderrahmane Raouya, notant qu'elles pourraient reculer à 97 milliards de dollars à fin décembre 20
La Banque Mondiale (BM) a mis en garde contre l'augmentation de la pauvreté en Algérie, qui prévoit une croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) réel de 1,4 pc en moyenne au cours de la période 2017-2019. "10 PC de la population (algérie
Le Premier ministre algérien Abdelmadjid Tebboune a été démis mardi de ses fonctions trois mois après sa nomination à la tête du gouvernement, a annoncé la présidence, citée par les médias officiels. "Le Prési
Confrontée à une profonde crise financière et économique, l'Algérie renoue avec l'endettement extérieur pour renflouer les caisses de l'Etat devenues vides, ce qui avait été longtemps exclu par le gouvernement algérien.