Lundi 27 Mai 2019

Revue de presse économique du 27 mai 2019

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Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce lundi :

Le Matin :

• Le Conseil de la concurrence planche sur 4 chantiers stratégiques. Il entend concevoir et mettre en œuvre un baromètre national de la concurrence. Le dispositif en projet sera basé sur un référentiel qui suivra, à partir d'indicateurs objectifs et mesurables, le niveau de respect de la concurrence par les différents marchés de l’économie nationale. Un sondage annuel d’opinion sur la perception de la concurrence est le deuxième chantier. Grâce à ce sondage qui évaluera les perceptions qu’ont les acteurs de la concurrence, le Conseil pourra mieux affiner ses avis suite aux saisines qui lui sont adressées. Le troisième chantier du Conseil consistera en l’installation d’un Observatoire national des marchés. Sa mission : assurer des veilles juridique, économique et concurrentielle. Enfin, le Conseil compte se doter d’une stratégie de communication destinée au grand public. L’objectif étant de vulgariser auprès des citoyens tous les sujets en rapport avec la concurrence.

• La croissance du PIB marocain devrait ralentir à 2% en 2019, contre 2,9% l’année précédente, et les défaillances des entreprises augmenteraient de 3%. C’est ce qui ressort du dernier bulletin des risques à l’export publié par Euler Hermès. Sur la même année, la croissance des exportations devrait baisser de 1 point du PIB par rapport aux prévisions antérieures. De même, les délais moyens de paiement (DSO) s’enfonceraient en 2019 après 84 jours en 2018. Motif : la baisse de la production agricole (-4,8%) suite à l’insuffisance des pluies. Les analystes d’Euler Hermès expliquent cette situation par l’impact de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine sur la croissance marocaine.

Aujourd’hui le Maroc : 

• Les resquilleurs font des ravages au niveau des gares de péage des autoroutes. Des milliers de personnes trouvent un malin plaisir à dépasser frauduleusement les barrières des gares sans s’acquitter des droits appliqués à tous les usagers et véhicules. C’est la raison pour laquelle le gouvernement et la société ADM (Autoroutes du Maroc) semblent décidés à mettre un terme à ce phénomène venu d'Europe et qui ne cesse de prendre de l'ampleur ces dernières années. Mais pour ce faire, les responsables avaient devant eux un obstacle procédural de taille, à savoir la constatation des infractions. Les responsables ont verrouillé la procédure d'abord pour les radars de contrôle de vitesse et depuis jeudi dernier, pour les caméras installées au niveau des gares de péage. Avec l'entrée en vigueur du décret n° 2.19.344 modifiant et complétant le décret n° 2.10.419 du 29 septembre 2010, relatives aux sanctions et mesures administratives et à la constatation des infractions, les resquilleurs risquent gros. Car au lieu de payer quelques dizaines de dirhams tout au plus pour les trajets plus longs, ils se retrouveront à devoir verser des centaines, voire des milliers de dirhams à l'Etat. 

• A partir de mercredi prochain, une enquête de sauvegarde sur les importations de tôles laminées à chaud sera ouverte. Cette investigation intervient suite à une demande formulée par Maghreb Steel. L'entreprise marocaine, représentante de la branche de production nationale, a saisi récemment le ministère de l’industrie, de l'investissement, du commerce et de l'économie numérique pour l'application d'une mesure de sauvegarde sur les importations de tôles laminées à chaud. L'ouverture de l'enquête est fondée sur l'existence de l'accroissement massif des importations, du dommage grave ou menace de dommage que ces achats peuvent engendrer. Le constat établi fait ressortir une hausse de 31 % des importations dudit produit sur la période 2017-2018. 

L’Economiste :

• Le Maroc n'échappe pas à la pression sur les ressources naturelles et l'écosystème. 600 espèces animales et 1.700 plantes sont menacées d'extinction. Le coût de l'inaction est estimé à 1 milliard de DH d'ici 2030. Des efforts ont été fournis pour la préservation de la faune et la flore, mais pas suffisamment pour endiguer la menace. Le secrétariat d'Etat chargé du Développement durable va établir une nouvelle cartographie de la biodiversité qui servira de base à l'élaboration d'une stratégie nationale post-2020.

• 96% des cigarettes vendues au Maroc sont hors normes. Le gouvernement vient de se rendre compte qu'il existe deux écueils pour la mise en place de la norme 10-1-10 (10 mg de goudron, 1 mg de nicotine et 10 mg de monoxyde de carbone). Le premier est d'ordre législatif, car il faudra d'abord commencer par amender l'article 2 de la loi 15-91 relative à l'interdiction de la cigarette sur les lieux publics qui ne traite que deux composants, à savoir le goudron et la nicotine, et ne traite pas le monoxyde de carbone. Le deuxième obstacle concerne la forte concentration du marché du tabac sur les produits à forte teneur en goudron, étant donné que 71% des cigarettes vendues au Maroc sont à 14 mg. Le dilemme pour le gouvernement serait qu'une baisse drastique de la teneur du goudron de 14 mg à 10 mg risque de dissuader les fumeurs et donc précipiter la chute de la consommation du tabac et des recettes fiscales.

Al Bayane :

• La valorisation de la production céréalière nationale nécessite-t-elle uniquement la hausse périodique des droits de douanes appliqués à l'importation du blé tendre ? Le département de tutelle continue de croire que cette mesure reste efficace pour encourager les minoteries à écraser le blé locales dans leur production industrielle. Or, selon un grand opérateur agricole, le jeu est déjà fait et c'est un jeu interminable. Les minoteries se sont déjà approvisionnées et ont fait le plein à l'avance. Le recours à l'importation reste automatique et nécessaire. D'ailleurs, même si la production nationale de blé est au rendez-vous, la préférence des minoteries du blé importé est déclarée et parfois justifiée. D'abord le facteur de la bonne qualité du blé importé joue pleinement dans ce choix. Ensuite, ils préfèrent écraser le blé importé subventionné et de calibrage exigé. 

• C’est connu, le secteur public est un mauvais élève en matière d'efficacité énergétique. Le ministère de l'Energie, des mines et du développement durable, s'était fixé comme objectif de réduire de 5% par an la facture de l’électricité des administrations publiques dès cette année et de pousser celles-ci à générer de l'électricité d'origine propre, notamment solaire. Le potentiel d'économie d’énergie est estimé à plus de 30%. Aucun des départements n’échappera à ce virage énergétique. Les pistes proposées par le ministre de l'Energie, des mines et du développement durable, lors de la première réunion de la Commission nationale de l'efficacité énergétique s’inscrivent dans cet objectif. Aziz Rebbah a souligné que l'initiative de créer des commissions sectorielles d'efficacité énergétique regroupant toutes les parties prenantes, notamment dans l'éclairage public, vise à proposer une feuille de route portant sur des mesures et actions concrètes.

Libération :

• L’USFP est en train de préparer un projet politique et organisationnel novateur dans le but de resserrer ses rangs et sceller la réconciliation entre tous les membres du parti, de rétablir l’équilibre dans le champ politique national et de se pencher sur les préparatifs pour les prochaines échéances prévues en 2021, a déclaré le Premier secrétaire de l’USFP, Driss Lachguar, lors de la rencontre organisée par le parti. Pour l'USFP, le lancement de ce projet "ne relève pas d'un enjeu partisan, ni d'un luxe intellectuel, mais d'un pas vers l'avenir qui a pour objectif de dépasser la polarisation politique, de rétablir l'équilibre sur la scène politique nationale, de protéger le multipartisme et de promouvoir l'action politique responsable", a-t-il dit. Par ailleurs, Lachguar a exhorté le gouvernement à accorder une importance capitale à la dimension sociale (emploi, santé et éducation) et à en faire une priorité des politiques publiques et des budgets sectoriels. 

• Dans le domaine de l’innovation et des nouvelles technologies, le Maroc constitue une force d’inspiration pour les pays africains, ont affirmé plusieurs ambassadeurs africains auprès de l’Unesco. Ils ont plaidé pour un partenariat renforcé avec le Maroc qui est à la pointe dans ce domaine, et ce en marge d’une conférence internationale sur "L’innovation au service du développement durable en Afrique", organisée au siège de l’Unesco, à l'initiative du Groupe africain de l’Unesco et sous le leadership de la délégation permanente du Royaume du Maroc auprès de l’Unesco, dans le cadre de la Semaine africaine de l'Unesco en célébration de la Journée de l’Afrique.

L’Opinion :

• Enfin un classement mondial et régional positif où le Maroc occupe les premiers rangs! Sur une liste de 178 pays, le Royaume, représenté par le HCP, est en effet classé 42ème en matière de l'Indice d'Ouverture des Données 2018 (Open Data Inventory, ODIN), élaboré par l’Observatoire des Données Ouvertes (Open Data Watch, ODW). Avec ce classement, le Maroc Occupe le premier rang en Afrique du Nord, 2ème dans la région Arabe, après Oman classée 26ème, et 3ème en Afrique avec une note de 57,5 points, après le Rwanda et l'Ile Maurice qui ont été respectivement notés 58,3 et 57,9 points. 

• Le 25 mai dernier, était célébrée la journée nationale de l'Enfant. Cette année, les festivités de cette journée ont coïncidé avec le 30ème anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant adoptée par l'ONU en 1989. L’occasion pour Giovanna Barberis, représentante de l'UNICEF au Maroc, de revenir sur la situation générale des enfants, qui s'améliore dans le Royaume et relever, par la même occasion, les efforts à fournir pour atteindre une meilleure condition. L'analyse de la situation des enfants montre des "avancées importantes dans les domaines de la santé, de la nutrition et de la survie". En effet, d'après les chiffres, entre 2003 et 2018, la mortalité des enfants de moins de cinq ans s'est réduite de plus de 50%. Passant de 47 à 22,16 décès pour 1000 naissances vivantes, indique-t-elle.

Al Ahdat Al Maghribia :

• Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine, a procédé, après la prière du vendredi à la mosquée "Al Israa wa Al Miaaraj" à Casablanca, à la remise du Prix Mohammed VI aux majors du Programme de lutte contre l'analphabétisme dans les mosquées au titre de l'année 2017-2018. A cette occasion, le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq a prononcé une allocution devant SM le Roi, Amir Al Mouminine, dans laquelle il a souligné que le Programme de lutte contre l'analphabétisme dans les mosquées a bénéficié, depuis son lancement en l'an 2000 et jusqu'à 2018, à plus de 3 millions de personnes, auxquelles s'ajoutent celles qui suivent le Programme sur la Chaîne Mohammed VI du Saint Coran, diffusé deux fois par jour, et sur le site Web du ministère des Habous et des Affaires islamiques. Toufiq a indiqué, par la même occasion, que le plan établi par le ministère au titre de la période 2017-2021 ambitionne de porter le nombre des bénéficiaires du Programme national de lutte contre l'analphabétisme dans les mosquées à 4,5 millions de personnes, soit 1,5 million de personnes supplémentaires. 

• Nizar Baraka, secrétaire général du parti de l’Istiqlal, a appelé à "la rationalisation de l’équipe gouvernementale et à procéder à une nouvelle déclaration du gouvernement, car le remaniement ministériel n’est pas suffisant ". Les Marocains se sont lassés des slogans et des promesses vides, a souligné Baraka, à Tanger . A travers la dispersion de sa majorité, le gouvernement ne fait qu’accentuer la crise de confiance, a-t-il noté, appelant le gouvernement à être à l’écoute des citoyens et présenter des solutions réalisables. Baraka a également appelé Saad Dine El Otmani, chef du gouvernement, à exercer pleinement ses attributions en tant que chef du gouvernement et de ne pas jouer le rôle du premier ministre. Selon lui, le gouvernement a perdu sa perception du développement et ne fait que perpétuer les disparités sociales. 

Al Ittihad Al Ichtiraki :

• Les investissements directs arabes au Maroc continuent de baisser pour la 3ème année consécutive. Ces investissements n’ont guère dépassé les 7,9 milliards de dirhams (MMDH) en 2018 contre 8,6 (MMDH) en 2017. Ainsi, les IDE en provenance des pays arabes ont régressé de 41,4% en comparaison avec 2015. Les investissements directs arabes au Maroc qui constituaient 30% des flux d’investissements étrangers en 2015, ont vu leur part chuter de 12,6% en 2018. Les deux plus grands pays arabes qui ont cessé d’investir au Maroc durant ces dernières années sont l'Arabie Saoudite et les Emirats arabes Unis, selon les données de l’Office des Changes. Par contre, les investissements du Qatar au Maroc se sont améliorés de 68%.



• Rencontre sur la protection sociale et les menaces auxquels le Maroc fait face: "La protection sociale ne peut pas être laissée de côté par le gouvernement car elle est l’un des piliers essentiels de la politique social. Il s’agit d’une question inhérente à la notion d’Etat", a souligné, Mohamed Benabdelkader, membre du bureau politique USFP et ministre délégué chargé de la réforme de l'Administration et de la fonction publique. Pour sa part, le président du conseil d'administration de la Mutuelle générale du personnel des administrations publiques du Maroc, Abdelmoula Moumni a insisté sur la nécessité de placer la protection sociale au cœur des politiques sociales, notant qu’elle constitue l’un des principaux leviers du nouveau modèle de développement. 
Al Alam :

• Les patrons des autocars de transport international, affiliés à l’Union générale des entreprises et professions , ont jeté les projecteurs sur l’affaire du transport international et la décision des autorités espagnoles de contraindre les voyageurs à transporter leurs bagages jusqu’au bateau lorsqu’ils arrivent au port d'Algésiras. En coordination avec d’autres entreprises, la Fédération nationale du transport touristique avait organisé, vendredi dernier, un sit-in au Port Tanger Med, pour dénoncer la nouvelle mesure des autorités espagnoles. Ainsi, la Fédération a appelé le gouvernement à entamer des mesures réciproques. Elle a également appelé les MRE à boycotter le transit via le territoire espagnol durant la période estivale, considérant ces mesures unilatérales, provocatrices et arbitraires. L'association initiative marocaine pour la science et la pensée a annoncé que l’Aïd Al fitr au Maroc serait célébrée mercredi 5 juin, étant donné que l’observation à l’œil nu serait claire dans toutes les villes du Royaume. Elle a affirmé que le croisant de la lune serait visible dans la ville de Figuig dès le coucher du soleil. La visibilité du croissant lunaire de chawal serait opportune mardi le 29 ramadan dans presque tous les pays arabes et islamique, a-t-elle assuré.

Akhbar Al Yaoum :

• Le président de la Cour des comptes, Driss Jettou, sera entendu par la Commission des finances du Parlement ce mardi au sujet des dysfonctionnements relevés sur son rapport consacré à l’OCP. Le président de la Cour des comptes devrait présenter les conclusions du rapport qui a nécessité un travail de plus de trois ans. Ensuite une discussion sera entamée par les membres de la commission des finances de la Première chambre du parlement. Il y a quelques semaines à peine, la Cour des comptes avait publié un résumé dudit rapport, qui selon des observateurs, est vide de contenu avec pour motif : la sensibilité du secteur. 

• Sous pression du gouvernent espagnol, l’Union européenne compte apporter une aide financière annuelle constante au Maroc pour lutter contre l’immigration clandestine. Cette décision intervient suite à des données officielles indiquant que l’objectif de réduire de 50% le nombre des migrants clandestins à destination de l’Espagne est difficile à atteindre eu égard à l’énorme pression sur les frontières maroco-espagnoles et la hausse de 24% des arrivants en Espagne durant les premiers mois de 2019 . Selon des sources proches du gouvernement espagnol, la commission européenne examinerait une aide financière annuelle de 50 millions d’euros au profit du Maroc pour contrecarrer la crise d’immigration irrégulière.
Al Massae :

• L'Ordre des médecins a accusé des laboratoires de médicaments d’offrir des présents en nature et des voyages au Maroc et à l’étranger aux assistants en pharmacie pour modifier les prospectus des médecins sans les consulter. La coordination syndicale des médecins du secteur privé a envoyé un courrier au ministre de la santé, Anas Doukkali, lui demandant d’ouvrir une enquête à ce sujet, réclamant une élucidation du cadre juridique réglementant la relation entre les laboratoires pharmaceutiques et les assistants en pharmacie.

• Le chef du gouvernement Saad Dine El Otmani s’est retrouvé encerclé par des interrogations sur des "accords" passés pour changer les programmes scolaires, qui ont conduit certains libraires à laisser entendre un relent d’"ententes" établies entre certaines sociétés d’édition et la Direction des programmes au ministère de l’éducation nationale, qui a annoncé des changements des livres scolaires touchant plusieurs niveaux. Le secrétaire général de l’association marocaine des libraires n’a pas toléré le changement fréquent de ces programmes scolaires. D’autres libraires ont estimé que le changement des programmes ne sert que les intérêts des éditeurs, mettant en garde contre une quelconque entente entre les éditeurs et la Direction des programmes.

Bayne Al Yaoum :

• La Délégation générale à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a affirmé que la vidéo relayée sur Youtube prétendant que les faits y figurant ont eu lieu à la prison locale de Ain Sebaâ, est un ancien enregistrement qui ne se rapporte pas à des événements actuels dans les institutions situées dans l'enceinte du centre pénitentiaire de Ain Sebaâ. La DGAPR a dénoncé, dans une mise au point, la diffusion de cette vidéo qui se veut récente, mais qui ne mentionne ni sa date, ni son contexte, et ce dans le but de semer la discorde et d'induire en erreur l'opinion publique.

• La Commission permanente de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) réunie, vendredi à Paris, dans le cadre de la présidence française du Comité des ministres du Conseil de l'Europe, a adopté à l’unanimité une résolution évaluant positivement le partenariat pour la démocratie qu'elle avait accordé en 2011 au Maroc. Le Royaume est devenu ainsi le premier pays du voisinage de l'UE à avoir ce statut. Le Maroc a également décroché, en avril dernier, le statut de Partenaire pour la démocratie locale du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux.

Rissalat Al Oumma :

• Trois mois et demi après que la Cour des comptes a envoyé au chef du gouvernement une liste des élus qui, malgré des mises en garde, n’ont pas soumis leurs déclarations de patrimoine, Saad Dine El Otmani a émis deux décrets portant révocation de deux élus appartenant à la Chambre du commerce, d’industrie et des services de la région Guelmim-Oued Noun et de celle de l’Oriental. Ces élus ont été destitués car ils n’ont pas respecté la loi n° 54-06 instituant une déclaration obligatoire de patrimoine de certains élus des conseils locaux et des chambres professionnelles ainsi que de certaines catégories de fonctionnaires ou agents publics.

• Le chef du gouvernement Saad Dine El Otmani a envoyé une circulaire au ministre d’Etat, aux ministres, aux secrétaires d’Etat, aux hauts commissaires et au délégué général pour constituer une commission de "vigilance" afin d’assurer le suivi de la création et de la perte des postes d’emploi sur les plans national et régional. La création de cette commission s’inscrit dans le cadre du suivi et de l’évaluation de la performance des politiques publiques et stratégiques et des plans sectoriels en ce qui concerne la création d’emplois. Il s’agit d’assurer un suivi périodique des réalisations des plans et des stratégies sectorielles en matière de création et de perte d’emplois directs et indirects et d’attirer l’attention sur chaque lenteur constatée en matière de création d’emploi par rapport aux prévisions arrêtées par les plans et les stratégies sectorielles.

 

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