Lundi 21 Octobre 2019

Revue de presse économique du 21 octobre 2019

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Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce lundi:

Le Matin :

• L'ambassadeur du Maroc au Canada, Souriya Otmani, a invité les entreprises canadiennes à mettre à profit les opportunités d'investissement et de commerce offertes par le Maroc et à bénéficier des mesures incitatives adoptées dans ce sens. Dans une tribune intitulée "Le Maroc : une économie émergente dynamique" publiée par la revue canadienne "Diplomat Magazine", Otmani a mis en avant les multiples réalisations qui laissent grandes ouvertes les perspectives et opportunités d'investissement dans le Royaume. Le Maroc offre une plate-forme pour les opérateurs du pays nord-américain et peut servir de porte d'entrée du Canada vers l'Afrique, où les entreprises et les hommes d'affaires marocains jouent déjà un rôle de premier plan, souligne l'ambassadeur.



• Le projet de démantèlement des réseaux criminels transfrontaliers impliqués dans la traite des personnes et le trafic illicite de migrants en Afrique du Nord a été lancé officiellement, vendredi à Rabat. Ce projet, dont le coût global s’élève à 15 millions d'euros (environ 3,5 millions consacrés au Maroc), vise à soutenir le Royaume et le reste de l'Afrique du Nord dans le démantèlement de ces réseaux dans cette région et ce, en améliorant les capacités des autorités chargées de la détection et de l'interception de ces organisations criminelles, de même que leurs capacités d'identification et d'enquête dans ces affaires, tout en protégeant les victimes. Intervenant à cette occasion, Claudia Wiedey, ambassadeur de l'UE au Maroc, s'est félicitée des efforts considérables du Royaume dans le domaine de l'immigration clandestine, soulignant que "le Maroc s'est doté d'un cadre législatif et réglementaire visant à lui donner les moyens de prévenir, réprimer et punir les crimes de traite des êtres humains".

L’Economiste :

• Pour encourager la conformité fiscale, le passage par une phase transitoire pour assurer la transparence est nécessaire. Ainsi, et à titre exceptionnel, il est proposé d'instituer un cadre légal spécifique à la régularisation volontaire de la situation fiscale des personnes physiques. Cette mesure aura pour effet de dispenser les contribuables de l’examen de l'ensemble de leur situation fiscale à partir des indicateurs de dépenses. Cette dispense sera accordée moyennant une retenue au taux de 5% sur les liquidités déposées auprès d'un établissement de crédit ayant statut de banque, détenues sous forme de monnaie fiduciaire par les personnes physiques. Les dépenses engagées ultérieurement à partir des dépôts de liquidités susvisées ne seront pas prises en considération dans l'examen de l'ensemble de leur situation fiscale à partir des indicateurs de dépenses.

• Pas de turbulences dans le ciel des textiliens. Le secteur maintient sa croissance à l’export. Une progression de 3,4% a été enregistrée au terme des 6 premiers mois de l'année. Pour l'heure, les seuls à cartonner vraiment sont les manteaux et vestes pour femmes, et les vêtements de travail. Et c'est dans ce contexte favorable que s'est tenu à Marrakech le plus important événement de la profession: Maroc in mode et Maroc sourcing (les 17 et 18 octobre). Le textile marocain affiche une dynamique importante et une tonicité vigoureuse à l'export depuis 6 ans. Depuis la mise en place des écosystèmes, le secteur récolte le fruit des efforts consentis: Il a réalisé 38 milliards de DH de chiffre d'affaires à l'export en 2018. Ce qui fait du secteur le 2ème exportateur industriel après l'automobile. 

Aujourd’hui le Maroc :

• Le PLF 2020 ouvre la porte à une deuxième année consécutive de privatisations. Après la cession d'une part des actions en Bourse de l'Etat à l'opérateur historique des télécommunications, l'été dernier, l'Exécutif prépare une nouvelle vague de privatisations en 2020. C'est ce qui ressort du projet de budget déposé au Parlement. Le gouvernement continue sur sa lancée donc dans un contexte marqué par une hausse des engagements et des dépenses plus importantes des recettes. C'est d'autant plus vrai que les dons du Golfe devraient arriver à leur terme. Il faut dire que les pépites de l'Etat potentiellement privatisables se font de plus en plus rares avec une décennie 90 qui a épuisé les gros lots. Les responsables comptent sur les recettes des privatisations et les remboursements des crédits TVA pour rendre la situation de certaines entités moins inquiétante.

• 101,19 milliards de dirhams est l’investissement prévisionnel des Etablissements et entreprises publics (EEP) en 2020. Ce volume marque une stabilisation à un palier avoisinant les 100 milliards de dirhams pour la deuxième année consécutive, couplée cette fois-ci à un taux d'exécution de plus en plus élevé. C'est ce que l'on peut relever du rapport sur les EEP publié en accompagnement de la loi de Finances 2020. Cet investissement devrait revenir à 100,44 milliards de dirhams en 2021, avant de baisser à 91,52 milliards de dirhams en 2022. Avec un portefeuille global de 225 établissements publics, 43 sociétés anonymes à participation directe du Trésor et 479 filiales ou participations publiques indirectes, les EEP continuent d'afficher une amélioration de leurs performances. Ceci se traduit par une hausse de 5,2% de leur chiffre d'affaires à fin 2018.

L’Opinion :

• "Il est primordial de réagir et de plaider en faveur des revendications légitimes des citoyens, en matière d’éducation, de santé et d'emploi. Dans ce sens, une implication sérieuse du gouvernement s'impose pour transformer ces réclamations en actions concrètes", a indiqué Nizar Baraka, secrétaire général du PI. Il a incité le gouvernement à abandonner les conflits politico-électoraux et à se focaliser sur la réforme socio-économique, en vue de répondre aux besoins des citoyens qui l'ont élu. "Il faudrait mettre fin aux politiques gouvernementales non inclusives qui excluent les jeunes et les considèrent comme un fardeau, au lieu de les prendre pour des porteurs d'espoir", a-t-il dit, vendredi à Bouznika, lors du 13ème Congrès général de la jeunesse Istiqlalienne.

• Les exportations marocaines ont augmenté de 10,6% en 2018 contre 10,3% en 2017 avec une progression moyenne annuelle de 4,3% sur la période 2008-2014, selon le rapport économique et financier accompagnant le projet de loi de Finances (PLF 2020). Grace à cette performance, la part du Maroc sur le marché mondial s'est améliorée, passant de 0,12% en moyenne annuelle sur la période 2008-2014 à 0,15% en 2018. L'amélioration a été plus notoire sur les marchés traditionnels à l'export, en l'occurrence les marchés espagnol et français, où cette part a progressé de 1,27% à 1,74% et de 0,63% à 0,92% respectivement entre 2014 et 2018, précise le rapport. Cette performance à l'export a été accompagnée par une diversification au niveau de l'espace et des produits.

Libération :

• Le Maroc constitue l'un des marchés émergents alternatifs pour les entreprises espagnoles, notamment celles de la région de Navarre (nord), qui cherchent une issue pour atténuer les pertes éventuelles causées par le Brexit, souligne une étude publiée réalisée par la Chambre de Commerce, d'industrie et des services de Navarre et l’Institut espagnol du commerce extérieur (ICEX). "Le Maroc est un pays qui jouit d'une stabilité politique et économique et dispose d'un marché accessible et ouvert, des facteurs essentiels pour attirer les investisseurs", note le journal espagnol Navarra Capital.es qui rapporte les grandes lignes de l'étude, ajoutant qu'"il ne fait aucun doute que la proximité géographique et la dynamique que connaît le Royaume offrent non seulement la facilité à y faire des affaires, mais également l'opportunité d'accéder au marché africain".

• Le service préfectoral de la police judiciaire de Marrakech a ouvert samedi matin, sous la supervision du parquet compétent, une enquête judiciaire au sujet d’actes criminels attribués à un citoyen français âgé de 73 ans soupçonné d’avoir réalisé des opérations de chirurgie esthétique dans un lieu clandestin et exercice de la médecine sans autorisation au Maroc. La préfecture de police de Marrakech avait reçu une plainte d’une citoyenne française, âgée de 49 ans, qui prétendait être parvenue à un accord avec un médecin de la même nationalité pour la réalisation d’une opération de chirurgie esthétique dans une clinique privée contre la somme de 4.000 euros, indique un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN).

Al Bayane :

• L'expérience cumulée par le Maroc en matière de justice constitutionnelle a été mise en exergue au Caire lors d'un Congrès international initié par la Cour constitutionnelle d'Egypte à l'occasion du cinquantenaire de sa création. Lors d'une session sur "la protection des droits et des libertés constitutionnels", le président de la Cour constitutionnelle, Said Ihrai, a retracé l'historique de l'évolution de la justice constitutionnelle au Maroc, allant de la création de la Chambre constitutionnelle à celle du Conseil constitutionnel, avant que ce processus ne soit couronné par la mise en place de la Cour constitutionnelle en vertu de l'amendement constitutionnel de 2011. La nouvelle constitution du Maroc, a souligné Ihrai, marque "un saut qualitatif en termes d'évolution démocratique" de même que ce texte constitue un document des droits et des libertés.

• Le Maroc a pu drainer en 2018 des entrées nettes d'Investissements directs à l'étranger (IDE) de 3,6 milliards de dollars, soit une hausse de 36% par rapport à 2017, selon le rapport économique et financier accompagnant le projet de loi de Finances (PLF 2020). Grâce à ce résultat, le Maroc a amélioré son positionnement régional s'adjugeant la quatrième position en Afrique en termes d'accueil des IDE, juste derrière l'Egypte (6,8 milliards de dollars), l'Afrique du Sud (5,3 milliards) et le Congo (4,3 milliards), souligne le rapport. En 2018, la structure par pays des entrées d'IDE au Maroc permet de relever le net rebond des investissements originaires de l'Irlande, qui est devenue le premier investisseur au Maroc, avec 20% du total, après 10% en 2017, fait observer la même source.

Akhbar Al Yaoum :

• Le Projet de loi de finances (PLF) relatif à l'exercice budgétaire de l’année 2020 prévoit une dotation globale de 13,64 milliards de dirhams (MMDH), au titre de la compensation, selon le ministère de l’Economie et des finances. En attendant l’opérationnalisation du Registre Social Unique qui permettra de coordonner et de restructurer l’ensemble des aides sociales, les prix du gaz butane, du sucre et de la farine nationale continueront à être subventionnés en 2020, indique le ministère dans un rapport sur la compensation accompagnant le PLF 2020. En 2019, la loi de finances avait programmé une enveloppe de 17,670 MMDH au titre de la compensation, rappelle le rapport, notant qu’au titre de la période janvier-septembre 2019, la charge prévisionnelle relative au soutien des prix du gaz butane, du sucre et de la farine de blé tendre s’établit à 11,2 MMDH, dont 7,4 MMDH au titre du gaz butane. • L'ambassade du Royaume du Maroc au Liban a annoncé avoir mis une ligne téléphonique à la disposition des membres de la communauté marocaine pour leur permettre de communiquer dans les cas urgents liés aux manifestations populaires que connait ce pays. Selon l'ambassade, cette ligne téléphonique (+ 96181701065) est réservée exclusivement à la communauté marocaine vivant au Liban dans les cas urgents liés à la situation actuelle dans le pays. Depuis jeudi soir, le Liban connait des manifestations à Beyrouth et dans plusieurs villes, après que le gouvernement a annoncé l'inclusion de nouvelles taxes dans le budget l'année prochaine, affectant le secteur des télécommunications gratuites par téléphone mobiles et autres, afin de fournir de nouvelles recettes au trésor public.

Al Massae :

• Le ministre de l’Industrie, du Commerce, de l’Économie verte et numérique, Moulay Hafid Elalamy a affirmé que le secteur du textile-habillement est monté en qualité et en compétences au Maroc ces dernières années. "Ce secteur est doté d’opérateurs aguerris qui ont une grande expertise et expérience, mais aussi des professionnels motivés à développer leur secteur qu’ils ont pris à bras-le-corps", a relevé Elalamy dans une déclaration à la presse à l’occasion de l’inauguration officielle des deux salons du Textile-Habillement "Maroc in mode" et "Maroc sourcing". Le Maroc a développé un secteur du textile de haut niveau avec des intégrations de bout en bout, partant de la filature jusqu’au produit fini et des produits qui ont augmenté fortement en qualité, a-t-il indiqué.

• Selon les données du ministère des finances, 68% des entreprises ont déposé des bilans déficitaires. Le ministère révèle que des sociétés connues n'hésitent pas à présenter de fausses factures, ce qui remet en question la crédibilité des documents présentés. Un rapport récent fait état d'un ensemble de mesures prises à l'encontre des entreprises qui présentent de fausses factures, afin de gonfler les charges et réduire les bénéfices, ou celles qui se déclarent déficitaires chaque année. Une pratique qui engendre des pertes considérables pour les sociétés concurrentes et pour les caisses de l’État.

Al Ittihad Al Ichtiraki :

• Les touristes français arrivent en tête des arrivées et des nuitées dans les établissements d’hébergement touristique classés (EHTC) de Marrakech à fin août dernier. Durant la même période, ils étaient 354.333 touristes français à visiter la cité ocre, soit une baisse de 2% en comparaison avec la même période de l’année précédente (361.238 arrivées), selon les données du Conseil régional du tourisme (CRT) de Marrakech. Les touristes britanniques viennent en deuxième position en terme d'arrivées avec 137.745 (+17%), suivis des Espagnols avec 75.640 (+14%) et des Allemands avec 74.140 (-13%). Le nombre des arrivées touristiques des Hollandais a enregistré la plus forte hausse avec 33%.

• Un rapport de Bank Al-Maghrib fait état d'un renchérissement des services bancaires. Un constat confirmé par l’analyse de l’évolution de l’indice des prix des services bancaires (IPSB), calculé annuellement par BAM. L’IPSB s’est établi à 126,76 à fin 2018, enregistrant ainsi une hausse de 26 points par rapport à 2011. Le rapport annuel 2018 sur les infrastructures des marchés financiers et les moyens de paiement, explique ce renchérissement par la tendance haussière des tarifs des services bancaires, qui reflète la hausse des prix de services comme le «Package», les «Frais de tenue de compte» ou encore la «Carte bancaire Electron».

Bayane Al Yaoum :

• La Consule Honoraire d'Espagne à Marrakech, Khadija El Gabsi, a été décorée dans la cité ocre, de la Croix de l'Ordre de Isabel La Católica du Royaume d'Espagne, en reconnaissance de son engagement en faveur du renforcement des relations maroco-espagnoles et de la coopération diplomatique, culturelle et touristique entre les deux pays. S'exprimant à cette occasion, l'Ambassadeur du Royaume d'Espagne au Maroc, Ricardo Díez-Hochleitner a souligné que Khadija El Gabsi n'est pas une nouvelle venue dans le monde des relations maroco-espagnoles, puisqu'elle a vécu 20 ans en Espagne où elle a travaillé avec acharnement et dévouement au service du renfoncement des relations entre les deux pays. Selon l'ambassadeur, Mme El Gabsi mérite cette reconnaissance non pas uniquement parce qu'elle travaille avec un dévouement exceptionnel mais parce qu'elle a démontré un esprit de service sans pareil, notant que cette décoration a suscité l'unanimité et l’enthousiasme chez l'ensemble des amis et admirateurs de Mme El Gabsi.

• Le PPS a rejoint l’opposition sur la base d’une analyse affinée de la scène politique, a indiqué le secrétaire général du PPS, Nabil Benabdellah. Cette décision s’explique par le mode de gestion, adopté par le gouvernement, qui est dépourvu de toute dynamique politique capable de mener à bien cette période et permettre un traitement efficace des questions posées, a expliqué M. Benabdellah lors d’un congrès partisan régional, ajoutant que la décision de retrait du gouvernement a été dictée par les relations conflictuelles et les règlements de comptes qui régnaient au sein de l'équipe gouvernementale.

Rissalat Al Oumma :

• La politique pénale au Maroc et son degré de conformité aux principes des droits de l’Homme ont été au centre d’un colloque organisé vendredi à Tétouan, à l’initiative de l’Ordre des avocats de Tétouan. S’exprimant à cette occasion, le procureur général du Roi auprès la Cour de Cassation et président du Ministère public, Mohamed Abdennabaoui, a souligné le rôle important que joue le ministère public dans la politique pénale à l’échelle internationale, que ce soit dans la prise de décision ou l'élaboration de propositions. La politique pénale doit suivre le rythme des avancées technologiques et scientifiques, a-t-il estimé, notant que les nouvelles mutations technologiques obligent la politique pénale à intervenir pour élaborer des textes pénaux accompagnant le contexte de la mondialisation. La politique pénale évolue et tend vers un caractère consensuel et non punitif, d'où l'introduction de nouveaux mécanismes dans les textes de loi, comme la reconnaissance de la culpabilité ou encore les institutions de réconciliation et de médiation, a poursuivi M. Abdennabaoui.

• L'Instance nationale de la Probité, de la Prévention et de la Lutte contre la Corruption (INPPLC) a officiellement adhéré au Réseau des Autorités de prévention de la corruption (Šibenik) lors de la 4ème réunion périodique de cette instance, qui se tient les 17 et 18 octobre à Tunis. "Il s’agit d’une adhésion à la déclaration d’engagement dans ce réseau qui a pour vocation de créer les outils nécessaires pour renforcer les capacités des autorités de prévention de la corruption", a déclaré à la MAP le président de l’INPPLC, Bachir Rachdi, en marge de la signature par le Maroc de ce document, portant ainsi le nombre d’adhérents de ce réseau à 23. Tout en soulignant que la corruption revêt une dimension transnationale, il a fait savoir que les acteurs de la corruption exploitent l’ensemble des innovations et des avancées technologiques pour sévir dans leurs actes. Al Alam :

• Le secteur des agrumes aurait subi d’énormes pertes évaluées à 2 milliards de DH pour la seule campagne 2018-2019. Et pour cause, des pertes qui résultent du recul des recettes à l’export, de la destruction des marchandises (faute d’acheteurs) et de l’abandon des fruits sur arbres ainsi que la concurrence de plusieurs pays comme l’Egypte, la Turquie ou encore l’Espagne sur les marchés européens, explique la Fédération interprofessionnelle marocaine des agrumes. Selon la fédération, les professionnels traversent une période difficile en raison des moyens de financement de la campagne agricole et de la dégringolade de production estimée à 50%.

• Le secrétaire général du PI, Nizar Baraka, a appelé le gouvernement dans sa nouvelle mouture à présenter un nouveau programme qui tient compte des défis de développement et des attentes des citoyens. Ce programme permettra au Maroc de se doter d'une nouvelle génération de réformes, de projets, de stratégies et de mesures renforçant la confiance des différentes composantes de la société. M. Baraka, qui s’exprimait lors du 13ème Congrès général de la jeunesse Istiqlalienne, s’est félicité de l’implication des jeunes dans la vie politique et dans la gestion de la chose publique, regrettant que les politiques gouvernementales non inclusives, soient inefficaces et excluent les jeunes. Al Ahdath Al maghribia :

• Le gouvernement a annoncé une deuxième opération de régularisation des avoirs extérieurs. En effet, le PLF 2020 prévoit le paiement d'une contribution libératoire pour les avoirs immobiliers ou financiers détenus à l’étranger avant le 30 septembre 2019. Cette mesure s’adresse aux personnes (physiques ou morales) domiciliées au Maroc, en infraction avec les règlements fiscal et de change, au titre d’avoirs immobiliers ou financiers détenus illégalement à l’étranger.

• Le groupe Banque Centrale Populaire (BCP) a finalisé, jeudi, l'acquisition de 71% du capital de la Banque de Madagascar et de l’Océan Indien (BMOI), auprès du Groupe BPCE (groupe bancaire français formé des réseaux Banque Populaire et Caisse d'Épargne), après avoir obtenu l'ensemble des autorisations réglementaires. Déjà présent à Madagascar et à Maurice à travers sa filiale BCP Bank (Mauritius), le groupe BCP devient, aujourd’hui, un acteur de premier plan sur le marché bancaire malgache et renforce par la même occasion son empreinte géographique dans l’Océan Indien, indique un communiqué du groupe.

 

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