Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce vendredi :
Aujourd'hui le Maroc :
• Le cas Maroc est-il désespéré en matière d'insécurité routière ? Les dernières statistiques sont tellement préoccupantes que le ministère de tutelle appelle à l'adoption de nouvelles mesures. Les responsables parlent carrément d'un plan d'urgence alors qu'une stratégie nationale est en cours. La même source veut aller vers une approche plus territoriale et des mesures différentes. L'accent devrait être mis sur les usagers peu protégés (piétons et cyclistes) qui constituent 80 à 85% des morts sur les routes. Un total 1.357 personnes sont mortes entre janvier et avril derniers, soit 96 décès de plus qu'en 2018, selon les chiffres avancés lors d’une réunion tenue par la Commission permanente de la sécurité routière. Face à cette situation, de nouvelles mesures ont déjà été mises en place. La tutelle parle ainsi de contrôle accru avec l'utilisation de nouveaux matériels pour lutter contre les infractions du code de la route observées dans les villes et campagnes marocaines.
• Quelques heures après l'adoption par la Chambre des représentants du projet de loi organique définissant le processus de mise en œuvre du caractère officiel de l'amazigh, le conseil provincial de Tiznit (présidé par le RNI) passe à l'action et publie un communiqué de presse conjointement en arabe et en tifinagh sur sa session ordinaire tenue lundi dernier. Cette opération de communication en tifinagh entreprise par ce conseil élu est inédite au niveau national et démontre encore une fois l'engagement pris par les élus du RNI pour officialiser l'usage de la langue amazighe et être en conformité avec la Constitution marocaine.
L’Economiste :
• Rien ne semble pouvoir arrêter la dégradation des délais de paiement interentreprises. Au cours de 2018, les délais moyens sont passés de 98 à 93 jours, mais restent encore trop longs. C'est l'une des conclusions de la 4e enquête réalisée au cours du premier trimestre 2019 par Coface auprès d'un échantillon de 175 sociétés. Ainsi, une entreprise sur deux est payée à 180 jours. Pour celles qui sont confrontées par ailleurs à la baisse des commandes dans leur secteur (sidérurgie, construction métallique, BTP), la situation peut vite devenir intenable.
• L'emploi domestique est désormais encadré. Un contrat de travail est exigé, une couverture sociale et maladie sont dorénavant garanties par la loi. Les contraventions sont sanctionnées et la rupture du contrat de travail a un coût. En plus du contrat de travail, l'employeur devra immatriculer ses employés à la CNSS. L'obligation devient effective à partir du 3 juin 2020 mais rien n'empêche les employeurs à entreprendre les démarches dès à présent. L'arrivée de la couverture sociale et médicale pourrait pousser les travailleurs domestiques à exiger leur déclaration à la sécurité sociale. L’immatriculation à la CNSS se traduira par des charges sociales supportées en particulier par l'employeur. Au total, 25,66% du salaire dont 6,40% au titre des prestations familiales, 1,57% pour les prestations sociales à court terme, 11,89% pour les prestations sociales à long terme et 6,37% pour l'assurance maladie obligatoire.
Le Matin :
• Le Règlement général sur la protection des données (RGPD) signifie que les citoyens auront un meilleur contrôle de leurs données à caractère personnel et que les entreprises pourront bénéficier de conditions de concurrence équitables. Bank Al-Maghrib (BAM), en tant que superviseur du secteur bancaire et gestionnaire des services d’intérêt commun, doit prendre l’ensemble des dispositions nécessaires pour la mise en œuvre de ce règlement. C’est ce qui a été expliqué par Abdellatif Jouahri, wali de la Banque centrale, lors d’un séminaire tenu hier à Rabat sur «le nouveau cadre du règlement général de l’UE sur la protection des données 2018 et les liens avec la réglementation marocaine». «Bank Al-Maghrib a été la première institution publique et financière à mettre en place un dispositif de gestion de la conformité aux exigences de la protection des données personnelles dès 2012 », a-t-il dit.
• La Société d’aménagement et de développement de Mazagan (SAEDM) et le groupe de développement territorial français Realites unissent leurs forces pour le développement de la première composante résidentielle du projet du Pôle urbain de Mazagan (PUMA). «La SAEDM, filiale du groupe OCP, et Realites ont décidé de réaliser un projet commun en 3 phases, consistant à construire et commercialiser un programme mixte intégrant des logements individuels, collectifs et des commerces sur un terrain de 13 hectares au sein de PUMA», précise le groupe OCP dans un communiqué.
Libération :
• Le Bureau politique de l’USFP, qui vient de tenir sa réunion, a souligné que le parti de la Rose « constituera, comme il l’a toujours fait, une force de réformes et de propositions ». Il a estimé que les changements aux niveaux régional et international exigent la prise en considération des différents développements qui nécessitent le renforcement de l’action institutionnelle par la réforme politique et constitutionnelle, dans la perspective d’un développement et d’une démocratie orientés vers l’avenir. Le Bureau politique a souligné que la place de l’USFP sur l’échiquier politique national doit être consolidée à travers la poursuite de l’action de militantisme et d’adhésion à l’ensemble des causes sociétales.
• Le déficit commercial du Maroc s’est de nouveau creusé en avril 2019. Les chiffres publiés récemment par l’Office des changes font état d’une aggravation de 5% à près de 67,3 milliards de dirhams (MMDH) à fin avril dernier contre 64 milliards de dirhams (MMDH) durant la même période une année auparavant. Alors qu’il s’était allégé de 2,4% au premier trimestre de l’année en cours, suite à la hausse des exportations (+2.914 MDH), plus importante que celle des importations (+1.774 MDH), le déficit commercial s’est détérioré pour s’établir à -67.264 MDH à fin avril 2019 contre -64.034 MDH à fin avril 2018.
L’Opinion :
• 64,9% des ménages sont contre la contribution des familles aux frais de scolarité de leurs enfants et estiment que l'école publique doit rester gratuite, tandis que 31,3% évoquent le manque de moyens nécessaires, selon une enquête nationale, présentée par le Conseil supérieur de l'éducation, de la formation et de la recherche scientifique. Près de 19% des ménages ont déclaré avoir obtenu un prêt auprès de leurs proches ou amis pour financer la rentrée scolaire de leurs enfants, estimant que plus le revenu augmente, plus la moyenne de dépense par enfant scolarisé part à la hausse, relève cette étude.
• Pour avoir soutenu les étudiants en médecine dans leur mouvement de boycott des examens, trois professeurs des Facultés de médecine d'Agadir, Marrakech et Casablanca ont été mis à pied. A la dernière minute, par le biais de son porte-parole Mustapha El Khalfi, le gouvernement a menacé de redoublement et d'exclusion les étudiants ayant dépassé le nombre d'années autorisées. S'exprimant suite au Conseil du gouvernement tenu ce jeudi 13 juin, le ministre des Relations avec le Parlement a pointé du doigt une hypothétique "implication d'autres parties, dont « Al Adl Wal Ihsan » dans la mobilisation des étudiants en médecine.
Al Bayane :
• Le Bureau politique du PPS, qui s’est réuni le 11 juin, a exprimé sa sincère aspiration à ce que la satisfaction de quatorze revendications sur seize points parmi les revendications des étudiants en médecine, soit une cause convaincante pour eux pour revenir rapidement retrouver les cours et passer les examens. Il a également souligné l'entière disposition du parti à s' acquitter de la mission de médiation objective et équilibrée en ce qui a trait à la santé publique, aussi bien à travers sa direction nationale qu’à travers son groupement parlementaire ainsi que dans le cadre de la majorité gouvernementale, qui doit dégager une approché politique, unifiée et claire sur le sujet. Il a de même estimé que les questions fondamentales du système de santé requièrent l'ouverture d'un débat national serein et profond.
• Le plan stratégique 2019-2023 de l'Institution du Médiateur va servir de moyen pour rapprocher l'institution du citoyen par le biais d'une meilleure transparence de sa gestion, l'amélioration des conditions d’accueil ainsi qu'un accès plus souple à ses services. Par la nouvelle stratégie, l’institution mise sur des prestations de qualité aux citoyens dans un cadre empreint de transparence tout en garantissant un meilleur accès aux informations, en harmonie avec les principes et valeurs qui sous-tendent son action. Il s'agit aussi d’apporter l’assistance juridique nécessaire aux catégories vulnérables ou en situation difficile, mais aussi de promouvoir une administration efficiente capable de répondre efficacement aux besoins des usagers, en passant de la phase de traitement des plaintes à celle de résolution des véritables problématiques et de mise en œuvre de tous les outils d’intervention offerts par la loi 14-16.
Al Alam :
• « 45% des élèves du secondaire qualifiant sont en retard par rapport à l'âge théorique du cycle. 38% des élèves accusent un retard d’âge dans le cycle secondaire collégial alors que 17,2% sont en retard dans le cycle primaire », selon les résultats d’une enquête réalisée par l’Instance nationale de l’évaluation, relevant du Conseil supérieur de l'éducation, de la formation et de la recherche scientifique. Aussi, 84,1% des enfants/jeunes recensés, âgés entre 3 et 22 ans, poursuivent leurs études dans des établissements scolaires publics, alors que 15,9% ont choisi le privé", précise la même source.
• Les opticiens lunettiers ferment boutique ! Ils ont organisé, mercredi 12 juin, un sit-in devant le ministère de la Santé pour dénoncer les changements qu'a subis le projet de loi 45.13 relatif aux professions de rééducation, de réadaptation et de réhabilitation fonctionnelle exercées entre autres par les opticiens lunetiers. La modification de l'article 6 du texte constitue toujours un sujet de discorde avec les ophtalmologues. Ces actions ont pour objectifs de faire pression sur le ministère de la Santé pour sortir de cette situation de blocage qui date de 2016, a indiqué Khalid Sabai, président du syndicat régional des opticiens de Rabat. « Il est difficile pour 1560 ophtalmologistes de couvrir les principaux hôpitaux du Royaume. D’où la nécessité de faire appel aux opticiens lunetiers pour combler le besoin potentiel dans ce domaine.
Akhbar Al Yaoum :
• L'Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale (ACAPS) et l’Unité de traitement du renseignement financier (UTRF) ont signé un protocole d’accord de coopération qui vient renforcer l’engagement des deux instituions en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme. Ce protocole d’accord a été signé par le président de l’UTRF, Jawhar Nfissi et la Directrice du Contrôle des Assurances (ACAPS), Afifa Al Houari, en présence du Chef du Gouvernement, Saad Dine El Otmani. L’accord prévoit les modalités de coopération et de collaboration à développer entre les deux institutions que ce soit en matière d’échange de renseignements et de documents, de déploiement de mesures et actions destinées à lutter efficacement contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme ou d’échange d’expériences.
• Le groupe OCP développe un programme d'économie circulaire inclusif et à portée éminemment sociale, a affirmé à Montréal, Hanane Mourchid, directrice en charge de l'économie circulaire au sein du groupe. Ce programme vise notamment à porter de 70% à 100% le recours à l’énergie électrique propre et la consommation d’eau urbaine recyclée et l’eau de mer dessalée de 30% à 100%, a déclaré Mourchid à l'occasion de sa participation au forum sur "l’économie circulaire au cœur d’un nouveau modèle d’affaires", organisé dans le cadre de la Conférence de Montréal du Forum international des Amériques. L'ambition consiste à récupérer le maximum de valeur à partir de la ressource phosphates en valorisant les co-produits et à mettre en œuvre les meilleures technologies permettant de traiter et recycler les émissions et effluents, a-t-elle expliqué.
Al Ahdat Al Maghribia :
• L'Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) a annoncé le renforcement du dispositif de contrôle et de surveillance phytosanitaire de la bactérie des plantes "Xylella fastidiosa", qui s’attaque à plusieurs espèces de végétaux, notamment l’olivier. Cette bactérie ayant touché les plantes dans plusieurs pays, notamment méditerranéens, représente une grande menace pour le patrimoine végétal national, indique l'ONSSA dans un communiqué. Par ailleurs, les voyageurs venant au Maroc sont invités à s’informer au préalable auprès de l’ONSSA sur les conditions d’importation et à éviter de transporter, sans documents, tout type de végétaux, ajoute la même source, notant que tout végétal non accompagné des documents phytosanitaires nécessaires sera confisqué et refoulé ou détruit.
• Une forte délégation marocaine composée d'une quinzaine de dirigeants d'entreprises et d'organisations professionnelles issues de divers secteurs économiques, participe, cette semaine à Washington, au sommet annuel sur l'investissement "SelectUSA", l’une des plus importantes manifestations dédiées à la promotion des investissements directs étrangers aux Etats-Unis. Le vice-président de l'Association marocaine des exportateurs (ASMEX), Amine Laghidi, a souligné l'importance de la participation des hommes d'affaires et des entrepreneurs du Royaume à cette manifestation internationale y voyant "une reconnaissance de la place du Maroc comme locomotive du développement sur le continent africain". Évoquant les domaines prioritaires ciblés, il a cité le "secteur stratégique des chaînes logistiques", étant donné qu'il "ne peut y avoir d'export entre le Maroc et le plus grand marché de consommation au monde sans une solution logistique efficace".
Bayane Al Yaoum :
• Assia Bensalah Alaoui, ambassadeur itinérant de SM le Roi, a souligné la convergence de vue entre le Président de la République française, Emmanuel Macron et Sa Majesté le Roi Mohammed VI sur l’importance du dialogue multilatéral initié dans le cadre du Sommet des deux Rives de la Méditerranée. «Sa Majesté le Roi a une ambition immense pour la région méditerranéenne et pour les populations et particulièrement les jeunes pour leur redonner espoir et rechercher un meilleur-vivre ensemble dans le respect des diversités», a déclaré Bensalah Alaoui à l’ouverture du Forum de Tunis, l’un des cinq Forums régionaux thématiques préparatoires au Sommet des deux Rives prévu le 24 juin courant à Marseille. Elle a qualifié d’«inédit» ce projet, initié par le Président français, puisque, dit-elle, «c’est pour la première fois que des politiques acceptent de se dessaisir du contrôle d’un processus».
• Anas Doukkali, ministre de la Santé, a réitéré le souhait de son département d’adhérer au Conseil d’administration du Centre africain pour le contrôle et la prévention des maladies, en tant que membre représentant de la région de l’Afrique du Nord et ce, pour un mandat de 3 ans. Lors d'une entrevue avec le directeur du centre africain, John Nkengasong, le ministre de la Santé a affirmé que cette visite de travail vient concrétiser la volonté partagée de renforcer davantage le partenariat avec le Centre, particulièrement depuis le retour du Royaume du Maroc à l’Union Africaine. Le renforcement de ce partenariat peut se concrétiser à travers l’initiation d’un programme de formation en épidémiologie de santé publique (Master) en faveur des étudiants africains francophones, qui pourront également bénéficier des stages dans les instituts de recherche du ministère de la Santé, a suggéré le ministre.
Al Massae :
• Sans compter celles engagées par le gouvernement, les dépenses des Marocains relatives à leur santé dépassent 3 milliards de dollars, selon des données publiés par une organisation internationale. Ainsi chaque marocain supporte une charge de 90 dollars par an, un chiffre élevé par rapport aux pays du voisinage. En 2018, le gouvernement marocain a dépensé plus de 2 milliards de dollars sur la santé, alors que les dépenses à travers l'assurance par le secteur privé ont atteint 269 millions de dollars US, selon la même source.
• Des parlementaires RNI ont appelé le gouvernement à revenir sur l’heure d’été. Mohamed Bakkouri, conseiller parlementaire, a souligné que, malgré une économie d’énergie et une facilitation des transactions commerciales qu’elle induirait, l’adoption de l’heure d’été a des conséquences fâcheuses sur la santé à long terme. De ce fait, le conseiller RNI a interpellé le ministre de la fonction publique à la Chambre des représentants, en lui demandant s’il y avait possibilité d’abolir l’heure d’été.
Al Ittihad Al Ichtiraki :
• Le Suriname a réitéré sa décision de retirer sa reconnaissance de la fantomatique RASD, en exprimant son soutien à une solution politique définitive au différend régional sur le Sahara dans le cadre de la souveraineté du Maroc et de son intégrité territoriale. Tout en réitérant sa "position de principe en faveur des principes internationalement reconnus du dialogue et du règlement pacifique des disputes", le Suriname a salué "l’engagement du gouvernement du Maroc en faveur d’une solution politique définitive et mutuellement acceptable" et a appelé "toutes les parties à continuer sur la voie du dialogue pour parvenir à une telle solution dans le cadre de la souveraineté marocaine et l’intégrité territoriale du Royaume", selon un communiqué conjoint signé à l'occasion de la visite officielle au Suriname du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Nasser Bourita.
• Sur instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le président de la Chambre des représentants Habib El Malki a représenté mercredi le Souverain à la célébration de la "Journée de la démocratie" au Nigeria. El Malki a été accueilli, à son arrivée à Abuja, par une délégation de haut niveau du ministère nigérian des Affaires étrangères ainsi que l'ambassadeur du Royaume Moha Ouali Tagma. Prenant part à un dîner officiel offert mardi par le chef de l’État nigérian, le président de la Chambre des représentants a présenté, au nom de Sa Majesté le Roi, ses félicitations au président Mohamadu Buhari à l’occasion de cet événement, de même qu'il a fait part de la détermination du Royaume à œuvrer pour la consolidation des relations bilatérales conformément aux orientations des chefs d’État des deux pays.
Rissalat Al Oumma :
• Le gouvernement a entrepris, depuis jeudi, la mise en œuvre des dispositions de l'accord tripartite sur le dialogue social signé le 25 avril 2019 entre le gouvernement, trois centrales syndicales et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) par le biais de l'adoption de 36 projets de décret, a indiqué le chef du gouvernement Saad Dine El Otmani. Qualifiant "d’historique" la réunion hebdomadaire du Conseil de gouvernement, El Otmani a réitéré la volonté du gouvernement de poursuivre l'application de tous les termes de cet accord "non seulement ceux relatifs à l'augmentation des salaires mais également les libertés syndicales, l'institutionnalisation du dialogue social et l'instauration de sa régularité ".
• Le Maroc s’illustre dans la course aux Investissements directs étrangers. Le Royaume a, en effet, pu accéder à la quatrième position en Afrique en termes d’accueil des IDE, avec 3,6 milliards de dollars en 2018, en accroissement de 35,5% par rapport à 2017, selon la Cnuced. «Le pays continue de bénéficier de performances économiques relativement stables et d’une économie diversifiée, qui attire des investissements étrangers», indiquent les auteurs de World Investment Report 2019, précisant que ces IDE sont destinés notamment à la finance, aux énergies renouvelables, aux infrastructures et à l’industrie automobile.