Les créances douteuses ont atteint leur niveau le plus élevé durant les dix dernières années au terme du troisième trimestre de 2017, d'après un rapport de "Standard Investment Bank", la branche analyses et investissements du groupe "Stanbic Bank Kenya", filiale du groupe sud-africain "Standard Bank".
La firme explique cette situation notamment par un environnement économique difficile au Kenya, marqué par la mise en œuvre de la loi plafonnant les taux d’intérêt bancaires, ainsi que par le long processus électoral.