Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars perdait 0,85% à 84,26 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en février, a chuté de 1,08% à 78,62 dollars. Les ventes au détail ont r
Cette évolution résulte notamment de la hausse de l'indice de la production de l'"industrie automobile" de 21,7%, des "industries alimentaires" de 8,6%, de celui de la "fabrication de produits à base de tabac" de 18,8% et de celui de l'&
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février reculait de 0,92%, à 75,40 dollars, alors que le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en janvier, lâchait 0,84%, à 70,42 dollars. Les deux références peinent à effacer l
Le WTI pour livraison en janvier, contrat le plus échangé à la Bourse de Chicago, s'est ainsi replié jusqu'à 71,75 dollars, avant de finir à 72,01 dollars. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a lui abandonn&eacut
Selon le premier scénario envisagé par les spécialistes, le coût de l'or noir pourrait dépasser les 100 dollars le baril à un moment où les différents appels lancés aux pays producteurs de pétrole pour augmenter leur production
Dans les échanges de ce mardi, les prix à terme du Brent pour livraison en février progressaient de 1,68% à 85,30 dollars le baril. Les contrats à terme sur le brut US West Texas Intermediate pour livraison en janvier évoluaient à la hausse de 1,51% &
Ce résultat est rendu public alors que les pays exportateurs de pétrole de l'OPEP+, Arabie saoudite et Russie en tête, s'apprêtent à réduire leur production pour soutenir les prix de l'or noir, une décision qui a suscité l'ire d
Vers 13H50 GMT (15H50 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre perdait 3,64% à 89,45 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain pour livraison en octobre chutait quant à lui de 3,98%, à 83,42 dollars, glissant
Les représentants des treize membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), conduits par l'Arabie saoudite, et leurs dix alliés emmenés par la Russie, ont convenu de "revenir aux quotas du mois d'août", soit une baisse de
En effet, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), emmenée par Ryad, et ses alliés conduits par Moscou, ont convenu d'une augmentation de production très limitée pour le mois de septembre : à savoir 100.000 barils par jour, à