Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce vendredi : Le Matin :
• Les travaux du premier Colloque national de la Régionalisation avancée démarrent aujourd’hui à Agadir. Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, l’événement, initié par le ministère de l’Intérieur et l’Association des régions du Maroc, constitue un moment de réflexion et de partage qui a pour ambition de fédérer les acteurs territoriaux autour d’une vision fondatrice de la gestion territoriale. Se fixant comme objectif le partage des éléments de diagnostic relatif au bilan de la mise en œuvre de la régionalisation avancée ainsi que l’identification des pistes d’action nécessaires à l’atteinte d’un nouveau palier dans le processus de mise en œuvre de la régionalisation avancée, les participants à ce colloque discuteront également de la mise en œuvre optimale de la Charte nationale de la déconcentration administrative.
• "Nous assistons actuellement à une dynamique positive qui va dans le sens du renforcement de la marocanité du Sahara", a indiqué le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita lors d'un point de presse conjoint avec son homologue comorien, Souef Mohamed El Amine, à l'issue de l'inauguration d'un consulat général de l'Union des Comores à Laâyoune. Le ministre a fait remarquer que les "importants développements" qui se sont produits durant les dix derniers jours s'agissant de la question du Sahara, "ne sont pas des bruits sans aucune utilité ou des mensonges" comme ceux propagés par les autres parties "sur de supposées positions de l'Union africaine ou la nomination d'un nouvel envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara". L’Economiste :
• Le Conseil de la concurrence croit dur comme fer à un écosystème national intégré de régulation. Il sera composé de régulateurs sectoriels: audiovisuel, banques, assurances, télécoms, ports, énergie, finance... S'y ajoutent les instances en charge de la bonne gouvernance. «Les principes d'interdépendance des missions et de convergence des objectifs restent de mise. Les relations entre régulateurs doivent être régies par un esprit de coordination, de complémentarité et de partenariat: échange d'expériences, expertise... », insiste le président du Conseil de la concurrence, Driss Guerraoui. Pour lui, tous les chantiers sont prioritaires et revêtent une importance particulière dans son programme d'action. • Les relations entre les contribuables et l'administration fiscale seront théoriquement «équilibrées». L'article 216 sur l'examen de la situation fiscale a subi d'importants changements puisque seul le contribuable identifié est concerné. Cet examen vise l'ensemble des revenus déclarés, taxés d'office ou bénéficiant d'une dispense de déclaration et entrant dans le champ d'application de l'IR. La loi de finances 2020 a limité l'évaluation du revenu global annuel aux revenus professionnels ainsi que ceux d'origine agricole et foncier pour toute ou une partie de la période non prescrite. Cette évaluation, souvent redoutée par les contribuables, n’est déclenchée qu’en cas de gap entre le revenu pour la période considérée et les dépenses fixées par l’article 29 du Code général des impôts.
Aujourd’hui Le Maroc :
• Seulement 2% des indicateurs sensibles au genre proviennent des sources administratives. Ce chiffre minime ressort de l'étude menée par le HCP et l'ONU Femmes sur l'état des lieux analytique des statistiques sensibles au genre au Maroc, qui précise que les 98% restants, fournis par le système statistique national, sont issus des recensements ou des enquêtes statistiques. Un diagnostic ayant porté sur une base de 163 indicateurs sensibles au genre, dont 109 indicateurs figurent parmi les 244 indicateurs ODD. 33 indicateurs étant parmi les 52 du "minimum set" proposés par la division statistique des Nations unies et 21 "indicateurs supplémentaires" proposés par l'ONU Femme. L'étude recommande principalement l'actualisation du cadre juridique régissant la production statistique au Maroc. Les textes de loi relatifs au système statistique national devraient promouvoir une production régulière, coordonnée et pérenne des statistique sensibles au genre au Maroc.
• Les organismes de retraite sont amenés à renforcer davantage leur performance et développer la qualité de leurs services. La transformation digitale constitue à ce titre un levier fondamental pour réussir ce défi. En matière de digitalisation, c'est la CNSS qui a ouvert le bal en 2003 à travers la création de plusieurs e-services au profit de ses clients, qu'ils soient affiliés (entreprises), assurés (salariés) ou autre partenaires (prestataires de soins). S'agissant du portail télé-déclaratif au Maroc "Damancom" le rapport d'activité du régime général de la CNSS au titre de 2018 avait révélé que le nombre d'affiliés adhérents au portail a augmenté de 20% par rapport à 2017. Leur nombre s'est chiffré à 162.837 affiliés télé-déclarants en 2018. Pour leur part, le nombre de salariés télé-déclarés s'est chiffré à 2,95 millions en 2018. Le montant des cotisations objet de télépaiement en 2018 est de 15,5 milliards DH contre 11,3 milliards DH en 2017, soit une hausse de 38%.
Al Bayane :
• Le nombre d'établissements de soins de santé primaires a atteint un total de 2.888 établissements en 2019, contre seulement 360 en 1960, a indiqué le ministre de la Santé, Khalid Ait Taleb mercredi à Salé. A l'occasion de l’ouverture du Forum national des soins de santé primaires, Ait Taleb a expliqué que cette progression constante a permis de passer de 29.600 personnes pour chaque établissement en 1960 à 12.264 personnes cette année. S'agissant des ressources humaines, le ministre a souligné que près de 3.321 médecins exercent dans les établissements de soins de santé primaires, soit un médecin pour 11.763 personnes ainsi que 10.063 infirmiers et techniciens de santé, soit un infirmier et un technicien de santé pour 3.725 personnes.
• Le nombre des actifs cotisants des régimes de retraite de base a atteint 4,6 millions à fin 2018 en progression de 2,2% par rapport à 2017, selon l'Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale (ACAPS). Ainsi, le taux de couverture retraite s'est établi à 42,3% de la population active occupée contre 41,8% une année auparavant, marquant ainsi une augmentation de 0,5 point par rapport à 2017 et de 4,2 points sur les cinq dernières années, indique l'ACAPS dans son rapport annuel relatif à l'exercice écoulé. Le nombre de bénéficiaires de ces régimes s’est élevé à 1,4 million d’individus dont 73,1% de retraités principaux et 26,9% de bénéficiaires de pensions de réversion (conjoints et orphelins), relève le rapport.
L’Opinion :
• La technologie des réseaux partagés ou distribués, appelée Blockchain, présente un intérêt majeur pour les exportateurs marocains et leurs partenaires. Il s'agit d'un nouveau modèle économique qui facilite les rapports de « confiance » lors des échanges sur internet. Les entreprises exportatrices sont de plus en plus conscientes de l’importance de cette technologie très utilisée par leurs clients internationaux. A cet effet, l'ASMEX et BMCE Bank of Africa ont organisé une conférence-débat pour sensibiliser l’écosystème sur les nouvelles tendances et les risques de ce type de plateforme. • Les anticipations avancées par les chefs d'entreprises du secteur de la construction, pour le 4ème trimestre 2019, font ressortir, globalement, une diminution de l'activité, selon le HCP. Cette évolution résulterait de la baisse d’activité prévue au niveau des branches "Génie civil" et "Travaux de construction spécialisés", précise le HCP dans une note sur les résultats des enquêtes de conjoncture auprès des entreprises relevant des secteurs de l'industrie manufacturière, de l’extractive, de l’industrie énergétique, de l'industrie environnementale et de la construction. Le recul dans le secteur de la construction serait accompagné par une stabilité des effectifs employés, ajoute la même source.
Libération : • La Biennale de Rabat a pris fin avec un bilan de 140.000 visiteurs, s'est félicité le président de la Fondation nationale des musées du Maroc (FNM) du Maroc, Mehdi Qotbi. "Ce qui me parle, ce qui me touche, c'est 140.000 visiteurs en l'espace de trois mois. C'est impressionnant !", a dit Qotbi dans une déclaration à la presse à la clôture de la première édition de la Biennale de Rabat. Ce chiffre signifie que cette Biennale a reçu l'équivalent d'un millier de visiteurs chaque jour ouvrable et que "les gens trouvaient les chemins du Musée, de la lumière et de la culture", a-t-il ajouté, notant que 65% des visiteurs sont des jeunes. "Cette première Biennale a été saluée pour sa qualité dans le monde entier, notamment en Amérique Latine, en Europe et en Asie", a-t-il souligné.
• Le Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Ahmed Reda Chami, a été élu à l'unanimité nouveau président de l’Union des conseils économiques et sociaux et institutions similaires d’Afrique (UCESA), lors de l’Assemblée générale élective de l’Union. S’exprimant à cette occasion, Chami s’est félicité de la confiance témoignée par les représentants des membres de l’UCESA à l’égard du CESE, qui assurera la présidence de l’Union pour la période 2019-2021. Dans la feuille de route de la mandature marocaine, Chami met l’accent sur quatre grandes priorités, à savoir le renforcement des dispositifs institutionnels et organisationnels de l’UCESA et la promotion d’un référentiel de normes et d’objectifs d’une charte sociale.
Al Massae :
• Après 4 années de reports, la Commission de la justice, de législation et des Droits de l'Homme à la Chambre des représentants a fixé un nouveau délai pour le dépôt des amendements sur le Code pénal. L'adoption du Code pénal ouvrira la voie à l'incrimination de l'enrichissement illégal. Il s'agit là du principal point de désaccord entre les parlementaires. Le président de la Commission a annoncé aux membres que le dernier délai pour le dépôt des amendements sur le projet de loi 10.16 portant modification du Code pénal est le vendredi 27 décembre.
• Les professionnels du transport sont en colère contre le ministère de tutelle. Et pour cause, ces derniers se voient contraints de présenter un certificat de vie du propriétaire de l'agrément afin de bénéficier du soutien prévu par l'Etat pour la rénovation de la flotte. Dans ce sens, l'Union régional du Travail (région de l'Oriental), a adressé une correspondance au Wali de la région lui rappelant que cette démarche, émanant de la division des affaires sociales et économiques de la Wilaya, n'a aucun fondement juridique et que ce certificat ne figure pas dans la liste des documents exigés par les services du ministère de l'Intérieur pour bénéficier de ce soutien financier. Le syndicat a également considéré que cette mesure relève de l'improvisation de la division des affaires sociales et économiques de la Wilaya.
Al Ahdath Al Maghribia :
• L'envoyé spécial de la Chine pour les affaires liées au Moyen-Orient, Zhai Jun, a relevé "un sursaut" dans la coopération économique et commerciale entre son pays et le Maroc, affirmant que ceux-ci doivent engager des actions pour trouver davantage des domaines de coopération, à l'instar des infrastructures et de l'investissement. Zhai Jun a également fait état d'un développement substantiel des investissements chinois au Maroc, notamment dans le domaine de l'industrie, relevant d'autre part que près de 200.000 Chinois ont visité le Maroc. "Des mesures sont en cours pour développer la coopération dans les domaines touristique, commercial et d'investissements".
• La première édition des "Tourism Marketing Days", tenue mardi à Casablanca à l'initiative de l'Office national marocain du tourisme (ONMT) et en partenariat avec la Confédération nationale du tourisme (CNT), avec la participation d'une centaine d'opérateurs publics et privés et de représentants associatifs, a marqué une nouvelle manière de collaboration entre l’ONMT et les professionnels du secteur touristique, indique un communiqué des organisateurs. Il s'agit, selon la même source, d'un nouveau concept d'événement qui vise à réunir des opérateurs publics et privés pour mettre en place les stratégies marketing et commerciales à même de positionner la marque "tourisme Maroc" sur l’échelle mondial du tourisme.
Al Alam:
• La mort, constatée samedi dernier, d'un nombre important de poissons au niveau du barrage Ahmed El-Hansali, près de Zaouit Cheikh, est due aux flux de margines "résidus d'oliviers" en amont du barrage, qui ont entraîné une grave pénurie d'oxygène à la surface de la retenue du barrage et une suffocation des poissons, informe l'Agence du Bassin Hydraulique de l'Oum Er Rbia. Dans un communiqué, l’Agence indique que suite à cet incident, ses services ont dépêché plusieurs comités pour effectuer des inspections sur le terrain et prélever des échantillons d'eau du barrage afin d'effectuer les analyses nécessaires en vue de déterminer les causes de la mort des poissons.Ainsi, les différentes analyses effectuées ont état d'une faible teneur des eaux de retenue du barrage en oxygène avec une moyenne de 1,6 mg/l au niveau de la surface, ce qui prouve concrètement que la véritable raison de la mort des poissons est le flux des margines, résidus des oliviers qui se trouvent en amont du barrage (lequel flotte au-dessus de la surface) et qui conduisent à une grave pénurie d'oxygène et donc à l'étouffement des poissons, explique l'agence.
• Les éléments de la douane opérant au point de passage de Bab Sebta ont saisi, mercredi soir, d'importantes sommes d'argent en devises, estimées à environ 26 millions de dirhams, a-t-on appris de source douanière. Les éléments de l'Administration des douanes et impôts indirects opérant au point de passage de Bab Sebta ont mis la main, lors d'une opération de contrôle de routine des véhicules au point de passage, sur 17.264.600 couronnes danoises et 120.180 francs suisses, soit une valeur estimée à 25,915 millions de dirhams, a précisé la même source. Les sommes d'argent ont été soigneusement dissimulées dans une cachette aménagée au siège arrière d'un véhicule immatriculé en Allemagne, conduit par un ressortissant marocain résidant à l'étranger.
Al Ittihad Al Ichtiraki :
• Le ministre de la Justice, Mohamed Benabdelkader, a appelé les composantes du Conseil d'orientation et de contrôle de la Fondation Mohammadia de la Justice (FMJ) à élaborer de nouveaux plans de travail et à adopter des idées nouvelles en vue de développer la Fondation, tout en saluant les efforts déployés durant les dernières années pour réaliser les objectifs de la FMJ. Dans une allocution à l'ouverture des travaux du Conseil, Benabdelkader a souligné l'importance du contexte actuel pour le secteur de la justice au Maroc, compte tenu des nombreux chantiers lancés par le ministère. Le domaine social occupe une place importante du fait que la justice est dotée d'un important capital humain, a-t-il ajouté, insistant sur la nécessité d'offrir aux juges et aux avocats des programmes, des projets et des initiatives à même de développer leur situation sociale.
• Le Maroc apportera une contribution financière dans le cadre de la mise en oeuvre du Pacte Mondial sur les réfugiés afin de soutenir les opérations d’enregistrement et de documentation,a souligné la ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, chargée des Marocains résidant à l’étranger, Nezha El Ouafi. "Dans le cadre du partage de la charge et des responsabilités, et en tant que co-parrain de la thématique « Capacité de protection », le Maroc apportera, dans le cadre de la mise en œuvre du Pacte Mondial, une contribution de 300 000 dollars visant à soutenir les opérations d’enregistrement et de documentation, sachant que le HCR prévoit, parmi ses priorités stratégiques, de procéder en 2020 à l’enregistrement biométrique de 10 millions de personnes dans 75 pays", a souligné la ministre déléguée.
Rissalat Al Oumma : • Les relations entre le Maroc et la France sont excellentes et empreintes d’amitié, de coopération et de respect mutuel, a affirmé à Paris, le chef du gouvernement, Saâd Dine El Otmani, qui a souligné la convergence de vues entre les deux pays sur plusieurs questions d’intérêt commun. El Otmani, qui co-présidait avec le premier ministre français Edouard Philippe la 14ème Rencontre de haut niveau (RHN), a relevé que les relations entre le Royaume du Maroc et la République française "reposent sur des dimensions historiques, culturelles, et humaines" dont "nous nous devons d’en préserver le caractère singulier et exceptionnel et de continuer à le consolider". Pour El Otmani, cette nouvelle session de la RHN est "une occasion pour affirmer, encore une fois, la nature singulière de l’amitié indéfectible et du respect mutuel qui a toujours entouré et marqué les relations bilatérales entre les deux pays", mettant en avant la "convergence de vues entre le Royaume du Maroc et de la République française, à l’égard de plusieurs questions d’intérêt commun, qui renforce le socle de ce partenariat privilégié qui gagne en profondeur, en intensité et densité à même d’en faire une référence à l’échelle régionale".
• Le Maroc, l'Argentine, le Burkina Faso, le Danemark et la Suède "ont reçu la meilleure note lors de l'examen de suivi par le Comité de leur action concernant les recommandations prioritaires", indique un communiqué publié sur le site du Haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l'homme. Les cinq pays se sont vu décerner la note «A» qui récompense les «mesures importantes» prises pour mettre en œuvre les recommandations du comité des Nations Unies pour les droits de l'homme. Le Maroc a reçu «A» "pour l'adoption de la loi sur le mécanisme national de prévention de la torture, désignant le Conseil national des droits de l'homme", précise la même source.
Bayane Al Yaoum:
• Le Haut-commissaire au Plan, Ahmed Lahlimi Alami, a souligné la nécessité de la mise en place d'une stratégie nationale visant le développement des statistiques sensibles au genre et leur utilisation dans les politiques publiques.Intervenant lors d’un atelier dédié à la présentation des résultats d’une étude réalisée en partenariat avec l'entité des Nations unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes (ONU-Femmes), Lahlimi a aussi mis l'accent sur l'importance de l’actualisation du cadre juridique régissant la production statistique au Maroc, estimant que les textes de loi relatifs au système statistique national devraient promouvoir une production régulière, coordonnée et pérenne des statistiques sensibles au genre au Maroc ainsi que leur utilisation.Les besoins en statistiques des producteurs et utilisateurs de statistiques sensibles au genre requièrent la création de canaux de communication et la mise en place de plateforme d'accès facile à tous les utilisateurs, a-t-il dit.
• Le dispositif territorial intégré de protection de l'enfance à Tanger, visant à fournir aux enfants et aux familles des services accessibles et de qualité, a été lancé, mercredi, et ce dans le cadre de l'exécution de la circulaire du Chef du gouvernement portant sur la mise en œuvre de la politique publique intégrée de protection de l'enfance (2015-2025). S'exprimant à cette occasion, la ministre de la Solidarité, du développement social, de l'égalité et de la famille, Jamila El Moussali, a indiqué que les dispositifs territoriaux intégrés de protection de l'enfance, qui seront lancés dans huit provinces pilotes du Royaume, sont le fruit des efforts communs de l'ensemble des parties prenantes pour insuffler un nouvel élan au système de protection de l'enfance au Maroc, de manière à répondre aux aspirations des enfants et des familles. Le lancement des dispositifs territoriaux intégrés de protection de l'enfance met en exergue l'importance de mettre en place des structures territoriales à même de garantir une complémentarité entre les programmes gouvernementaux et les services fournis par les acteurs œuvrant dans le domaine, a-t-elle ajouté, notant que ces dispositifs visent à garantir une protection effective et continue aux enfants contre les différents dangers auxquels ils peuvent faire face.