Mercredi 17 Mars 2021

Revue de presse économique du 17 mars 2021

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Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce mercredi.

 

Le Matin :

• Covid-19: Le Maroc "vaccine 50% plus rapidement que l'Allemagne et la plupart des grands pays européens". Le centre de réflexion américain spécialisé dans le Moyen-Orient, "The Middle East Institute" a salué les progrès de l’opération de vaccination contre le coronavirus au Maroc qui "vaccine 50% plus rapidement que l'Allemagne et la plupart des grands pays européens". "Jusqu'à présent, le Maroc a reçu 7 millions de doses des vaccins AstraZeneca et Sinopharm et vaccine 50% plus rapidement que l'Allemagne et la plupart des grands pays européens, à la faveur de l'un des systèmes d'inscription par SMS les plus efficaces au monde", relève l’expert et ancien diplomate américain, Williams Lawrence. Cet enseignant des sciences politiques et des Affaires internationales à la "School of International Service" de l’Université américaine à Washington, rappelle qu’avant la pandémie, l’économie marocaine "s’améliorait grâce à la réduction de la pauvreté, à la création d’emplois et au développement de la plus grande centrale solaire du monde et du plus grand port d’Afrique".

• Un nouveau tournant pour Casablanca Finance City. Belles perspectives de développement pour Casablanca Finance City (CFC). Le hub financier africain, qui fête ses 10 ans d’existence, gagnera davantage en attractivité avec l’entrée en vigueur de la réforme de son arsenal juridique. «La réforme de ce cadre régissant la plateforme est très bénéfique puisqu’elle a élargi le spectre des activités éligibles, en incluant 6 nouvelles dont les sociétés d’investissement, le conseil en investissement, les sociétés/plateformes de crowdfunding et les sociétés de négoce. Cela permettra donc à CFC de capter plus d’investissements. Sur le plan fiscal, la Place offre un taux d’imposition de 15%, ce qui dope également son attractivité et sa compétitivité», fait valoir Saïd Ibrahimi, directeur général de CFC, lors d’un webinaire dédié au bilan de 10 ans de la Place, le 16 mars. Le nouveau cadre juridique, constitué du Décret-loi n° 2-20-665 et du Décret de son application, de la Loi de finances 2020 et de celle de 2021, exclut toute distinction entre les activités locales et les activités à l’export.

L’Economiste :

• Finances publiques : les dépenses du personnel insensibles à la crise. L'Administration publique semble méconnaître les répercussions économiques de la crise sanitaire. Dans le privé, les hausses de salaires et du Smig ont été gelées dans certains secteurs et entreprises en attendant des jours meilleurs. Tout le contraire de l'administration publique où les dépenses du personnel ont pris 3,5% s'établissant ainsi à 24,1 milliards de DH à fin février, selon la situation des charges et ressources du Trésor publiée par le ministère des Finances. Cela s'explique notamment par l'effet des mesures de la 3e phase du dialogue social. Les rappels ont augmenté de 55,5% et la masse salariale structurelle de 2,5%, selon les explications avancées par la Trésorerie générale du Royaume (TGR). Les dépenses du personnel figurent parmi les charges difficilement compressibles. Elles ont atteint 133,5 milliards de DH en 2020 contre 127,7 milliards une année auparavant. Elles représentent 1,5 fois les dépenses d'investissement du budget général et 42,8% des dépenses globales.

• Pourquoi les recettes de la TIC sur le tabac sont en baisse ? A fin février, la TIC sur le tabac a généré des recettes de l’ordre de 1,34 milliard de DH contre 1,71 milliard de DH au terme de la même période de 2020, soit une baisse de 21,8%. Le repli s'explique par une chute temporaire de la production nationale de tabac pendant le mois de février. Chute qui devrait être compensée au cours des prochains mois. La loi de finances 2021 table sur 11,2 milliards de DH de rentrées au titre de la TIC sur le tabac.

 

Maroc le Jour :

• Covid-19: près de 95% des doses injectées en Afrique ont été administrées au Maroc. Près de 95% des doses de vaccins anti-Covid injectées en Afrique ont été administrées au Maroc, a indiqué mardi le chef de la division des maladies transmissibles à la direction de l'épidémiologie et de lutte contre les maladies, Abdelkrim Meziane Bellefquih. Le Maroc occupe ainsi la première place sur le continent en matière de vaccination contre la pandémie de Covid-19, a précisé Bellefquih qui présentait le bilan bimensuel relatif à la situation épidémiologique. Abordant la campagne nationale de vaccination ciblant tous les citoyens résidant au Maroc, y compris les étrangers en fonction des tranches d'âges et des catégories ciblées, le responsable a relevé que six semaines après le lancement de la campagne par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Royaume a vacciné plus de 4.225.311 de personnes (dose 1) et 1.767.472 personnes (dose 2), soit un total de 5.992.783 doses injectées.

• L'ouverture de plusieurs consulats généraux dans les provinces du sud du Maroc «démontre la reconnaissance internationale croissante» de la marocanité du Sahara, a affirmé Mihajlo Vucic, chercheur à l’Institut de politique et d’économie internationales de l’université de Belgrade. Ces représentations diplomatiques ont été ouvertes à Dakhla et à Laâyoune par 20 pays africains, arabes et américains, dont les États-Unis, a-t-il souligné, ajoutant que la plus récente est l'inauguration par le Royaume hachémite de Jordanie d'un consulat général le 4 mars 2021 dans la ville de Laâyoune. "Le différend sur le Sahara marocain demeure toujours sans solution finale, toutefois les récents développements indiquent que la position diplomatique du Royaume du Maroc concernant sa souveraineté incontestable sur le territoire gagne du terrain lentement mais sûrement", a-t-il souligné.

Aujourd’hui le Maroc :

• Air Arabia Maroc lance 5 nouvelles liaisons vers la France. Air Arabia Maroc a annoncé le lancement de cinq nouvelles liaisons vers la France au départ de Fès, Oujda et Casablanca à partir du 28 mars courant. Le leader du transport aérien à bas coût continue ainsi de renforcer son programme d'été 2021, indique la compagnie dans un communiqué, précisant que désormais l'aéroport de Fès-Saïss permettra de rejoindre la ville de Marseille à raison de trois fois par semaine. Air Arabia Maroc annonce également le lancement de trois destinations françaises au départ de l'aéroport Oujda-Angad, Marseille (2 fréquences par semaine), Toulouse (2 fréquences) et Paris (3 fréquences), relève la même source, soulignant que la compagnie aérienne renforce aussi ses liaisons au départ de l'aéroport Mohammed V avec des vols qui permettront de rejoindre Bordeaux deux fois par semaine.

• Covid-19 : le Maroc suspend ses liaisons aériennes avec 6 nouveaux pays. L’Office national des aéroports (ONDA) a annoncé la suspension par les autorités marocaines des vols en provenance et à destination de l’Argentine, la Bosnie-Herzégovine, le Botswana, le Cameroun, la Croatie et le Mozambique à partir du 15 mars 2021 à minuit jusqu’au 10 avril 2021. L’ONDA précise que sont également concernés les passagers voyageant de ces pays à travers un autre pays. Jusqu’à présent, le Maroc a suspendu ses liaisons aériennes avec 32 pays. Rappelons que dans le cadre des mesures préventives contre la propagation du Coronavirus, les autorités avaient annoncé le 1er mars des suspensions provisoires qui ciblent 18 pays.

L’Opinion :

• Faut-il avoir peur du vaccin d’AstraZeneca? Le désormais très controversé vaccin anti-Covid d'AstraZeneca continue d'alimenter les polémiques suite à l'apparition «d'effets secondaires» isolés dans plusieurs pays. Ce qui a amené les autorités sanitaires de ces derniers à suspendre temporairement son utilisation. Pour sa part, le Maroc, comme pour bon nombre de polémiques ayant émaillé les débuts de la pandémie dont celle ayant trait à l'usage de hydroxychloroquine, a choisi la voie de la souveraineté sanitaire en poursuivant son processus de vaccination comme si de rien n'était. Du moins jusqu'à ce qu'une prochaine réunion du Comité scientifique statue officiellement sur le sujet. Face à cette situation et au vu des antécédents, la décision finale du Royaume risque fort de verser vers le statu quo et le maintien de l'usage d'AstraZeneca dont les récentes suspensions en Europe augurent d'une plus grande facilité d'approvisionnement.

• Dakhla-Oued Eddahab: inscription de 12 gravures rupestres sur la liste du patrimoine national. La Direction régionale de la culture de Dakhla-Oued Eddahab a procédé récemment à l'inscription de 12 gravures rupestres sur la liste du patrimoine national, en vue de conserver et de mettre en valeur ce patrimoine remarquable. L’inscription de ces sites archéologiques s'inscrit dans le cadre de la stratégie du département de la culture visant à sauvegarder et à valoriser le patrimoine national, tout en assurant la protection juridique des sites archéologiques et des vestiges historiques ayant une valeur culturelle et scientifique pour la civilisation marocaine, indique un communiqué de la Direction régionale de la culture.

Al Bayane :

• Transport touristique : les professionnels maintiennent leur mouvement de protestation. Après avoir suspendu leur mouvement de protestation la semaine dernière, les professionnels du transport touristique ne semblent pas faire marche arrière et envisagent d’organiser un nouveau sit-in ce jeudi 18 mars devant les établissements du Bank Al-Maghrib et l’ensemble des services extérieurs du ministère des Finances et celui du Transport et ce dans toutes les villes du pays. Selon Mohamed Bamansour, Secrétaire général de la Fédération nationale du transport au Maroc (FNTT-Maroc), « les professionnels revendiquent des modalités claires en matière de l’application de la mesure du report des échéances mises en place par le Comité de veille économique (CVE) au lieu de nous laisser à la merci du diktat des établissements financiers ».

• Adoption à l'unanimité du projet de loi relatif à l'INPPLC. La Chambre des représentants a adopté à l'unanimité, lundi en séance plénière, le projet de loi n°46.19 relatif à l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption (INPPLC). Adopté en présence du ministre de l'Economie, des Finances et de la Réforme de l'Administration, Mohamed Benchaâboun, ce projet de loi s'inscrit dans le cadre de la mise en application des dispositions de la constitution, notamment l'article 167. Il s'agit, en effet, de renforcer la place de l'INPPLC en tant qu'institution nationale de gouvernance, qui s'acquitte de ses missions dans un cadre de coopération, de complémentarité et de coordination institutionnelle et fonctionnelle avec les autorités, les institutions et les autres instances s'inscrivant dans le dispositif national concerné par la lutte contre la corruption.

Assahraa Al Maghribiya :

• Madrid : L'ancien ambassadeur du Guatemala au Maroc décorée du Wissam Alaouite de l'ordre de Commandeur. L'ancien ambassadeur de la République de Guatemala au Maroc, Mónica Renata Bolaños Pérez, s'est vue remettre à Madrid, le Wissam Alaouite de l’ordre de Commandeur, qui lui a été décerné par SM le Roi Mohammed VI. La distinction royale a été remise à Mme Bolaños Pérez par l’ambassadeur du Maroc en Espagne, Karima Benyaich au cours d’une cérémonie organisée lundi à la résidence du Royaume, en présence de plusieurs ambassadeurs accrédités à Madrid et de personnalités du monde de la culture. Dans une allocution à cette occasion, Mme Benyaich a souligné que cette décoration royale est une reconnaissance de l’action distinguée accomplie par Mme Bolaños Pérez, tout au long de sa mission diplomatique à Rabat, et un témoignage de son effort continu pour renforcer davantage les relations de coopération entre les deux peuples amis, et consolider le développement économique, social, culturel et humain entre le Maroc et le Guatemala.

Al Massae :

• Chambre des représentants: Adoption de la loi-cadre sur la protection sociale. La Chambre des représentants a approuvé en séance plénière, lundi à l'unanimité, le projet de loi-cadre n°09.21 relatif à la protection sociale, en présence du ministre de l'Economie, des Finances et de la Réforme de l'Administration, Mohamed Benchaâboun. Intervenant à cette occasion, Benchaâboun a salué l'unanimité de ce vote qui "nous donnera la force nécessaire pour aller de l'avant dans la mise en oeuvre de cette réforme sociétale d'envergure, laquelle constitue une véritable révolution sociale et un tournant décisif dans le processus de réforme de la protection sociale dans le Royaume". L'objectif étant d'améliorer l'impact direct de cette protection sociale sur les citoyens à même de réduire la pauvreté et la vulnérabilité, ainsi que de soutenir le pouvoir d'achat des familles, a-t-il précisé.

Al Yaoum Al Maghribi : • Maroc: Déficit budgétaire de 10,2 MMDH à fin févier. La situation des charges et ressources du Trésor dégage un déficit budgétaire de 10,2 milliards de dirhams (MMDH) au cours des deux premiers mois de cette année, contre un déficit de 10 MMDH à fin février 2020, selon la Trésorerie Générale du Royaume (TGR). Ce déficit tient compte d'un solde positif de 10,2 MMDH dégagé par les comptes spéciaux du Trésor (CST) et les services de l'Etat gérés de manière autonome (SEGMA), précise la TGR dans son récent bulletin mensuel de statistiques des finances publiques (BMSFP). Ce bulletin fait également état d'une diminution de 0,3% des recettes ordinaires brutes et de 4,1% des dépenses ordinaires émises, dégageant ainsi un solde ordinaire négatif de 5,1 MMDH. La diminution des recettes s'explique par la baisse des impôts indirects de 10% et des droits d'enregistrement et de timbre (9,1%), conjuguée à la hausse des impôts directs de 4,1%, des droits de douane (3,8%) et des recettes non fiscales (118,2%).

Al Ahdath Al Maghribiya :

• Algérie: le système politique est "sclérosé", les dirigeants "vieillissants rejettent toute réelle ouverture". Le centre de réflexion américain spécialisé dans le Moyen-Orient, "The Middle East Institute" a qualifié de "sclérosé" le système politique en Algérie où les dirigeants "vieillissants rejettent toute réelle ouverture" alors que les manifestations de rue "reprennent massivement". "Sur le plan interne, les dirigeants algériens sont vieux et le président Abdelmadjid Tebboune, fortement soutenu par l’armée, est malade (…). Le système politique est sclérosé mais les dirigeants vieillissants rejettent toute réelle ouverture", estime le chercheur senior du Centre, Robert Ford, dans le cadre d’un rapport intitulé "L'administration Biden et le Moyen-Orient: recommandations politiques pour une voie durable à suivre ". Confirmant l'acharnement dans l’attitude des autorités algériennes vis-à-vis de l’intégrité territoriale du Maroc et le statut de l'Algérie comme principale partie prenant de la question du Sahara, le document du centre basé à Washington relève qu'Alger "fera pression en faveur de l'ancien plan référendaire" et mobilisera toutes ses ressources dans l'espoir d'un revirement de la position des Etats-Unis qui a reconnu la souveraineté marocaine pleine et entière sur ses provinces du Sud.

Al Alam :

• Pêche : des hommes d'affaires basques en prospection au Maroc. Une importante délégation d'hommes d'affaires du Pays basque s'est enquise, à Rabat, des différentes opportunités d'investissement au Maroc, dans le domaine de la pêche maritime et de l'industrie halieutique. Lors d'une rencontre avec Zakia Driouch, Secrétaire générale du département de la pêche au ministère de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, la délégation basque, présidée par Maria Tato, a exprimé sa volonté de développer une coopération entre le Maroc et le Pays basque, notamment dans le secteur de transformation et de valorisation des produits de la pêche et celui du recyclage du plastique issu de la pêche. Intervenant à cette occasion, Driouch a indiqué que cette réunion de prospection se veut une occasion idoine d'échanger sur l'ensemble des opportunités de coopération entre le Maroc et le Pays basque dans le secteur de la pêche.

Al Ittihad Al Ichtiraki :

• Tournages étrangers: l'ONMT et le CCM s'allient pour promouvoir la destination Maroc. Une convention de partenariat a été signée entre l'Office National Marocain du Tourisme (ONMT) et le Centre Cinématographique Marocain (CCM), avec pour objectif de promouvoir la destination marocaine auprès des producteurs cinématographiques et audiovisuels internationaux. Le but étant de développer de nouvelles stratégies marketing et de dynamiser l'attractivité de la destination pour accueillir davantage de productions étrangères au Maroc. Intervenant lors de la cérémonie de signature de cette convention, la ministre du Tourisme, de l’Artisanat du Transport Aérien, et de l’Economie Sociale, Nadia Fettah Alaoui a souligné que ce partenariat permettra de développer davantage la dynamique et les synergies d'actions entre l'ONMT et le CCM, le tout avec l'appui des deux ministères. Pour sa part, le ministre de la Culture, de la Jeunesse et des Sports Othman El Ferdaous, a indiqué que cette convention concrétise l'intersection de deux grandes industries en l'occurrence le tourisme et la production cinématographique, mettant en relief l'importance de promouvoir la destination Maroc auprès des producteurs cinématographiques internationaux.

Rissalat Al Oumma :

• Des Franco-Marocains ont appelé la France à reconnaître la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud . "Nous demandons avec confiance, avec foi, avec espoir à la France de reconnaître la souveraineté marocaine sur le Sahara", indiquent ces Franco-Marocains dans une lettre, à travers laquelle les premiers signataires souhaitent être les acteurs de l’unité territoriale du Maroc et de l’unité de vues entre le Maroc et la France. "C'est parce que cela est juste, légitime et que c’est le sens de l’avenir", lit-on dans cette lettre, signée par Moustapha Hadji et Ahmed Ghayet, rejoints par une vingtaine de Franco-Marocains de plusieurs horizons. Ces premiers signataires s’illustrent dans le quotidien de la France et sont représentatifs des différentes régions de l’Hexagone, de sa diversité et de son excellence.

Bayane Al Yaoum :

• Institution du médiateur : 482 doléances reçues des MRE en 2019. L'Institution du Médiateur a été saisie de 482 doléances et plaintes adressées par les Marocains résidant à l'étranger (MRE) en 2019, a indiqué, à Abidjan, El Imahi Echchaer, cadre à cette institution. "En 2019, l'Institution du Médiateur a reçu 482 plaintes et doléances des MRE, dont 247 correspondant à son domaine de compétence et 235 ayant fait l'objet d'une orientation", a déclaré à la MAP M. Echchaer, de la section des études, analyses et suivi au département foncier de l'Institution du Médiateur, en marge d'une journée d'information et d'échanges avec les Marocains de Côte d'Ivoire, initiée par le ministère délégué chargé des MRE. Ces plaintes, a-t-il souligné, ont été déposées par des ressortissants marocains établis en France, Belgique, Espagne, Allemagne, Pays-Bas, Italie, Canada, Etats-Unis d'Amérique, Ile Maurice, Hongrie, Libye, Mauritanie, Egypte, Syrie, Sénégal et la Gambie.
 

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