Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce vendredi :
Le Matin :
• Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, a présidé, jeudi, à la province de Chtouka Ait Baha, la cérémonie de lancement de la nouvelle stratégie de développement du secteur agricole baptisée «Génération Green 2020-2030» et de celle relative au développement du secteur des eaux et forêts du nom de "Forêts du Maroc". Au début de cette cérémonie, il a été procédé à la projection d'un film institutionnel qui met en avant la dynamique de développement qu’a connue le secteur agricole durant la dernière décennie, à la faveur notamment du Plan Maroc Vert (PMV), avec des témoignages d’agriculteurs ayant bénéficié dudit Plan. Par la suite, le ministre de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Aziz Akhannouch, a présenté, devant le Souverain, les grandes lignes des nouvelles stratégies «Génération Green 2020-2030» et “Forêts du Maroc”.
• La vice-ministre colombienne des Affaires multilatérales, Mme Adriana Mejia Hernandez, a réitéré l'appui de son pays à la position du Maroc afin de parvenir à une solution à la question du Sahara qui constitue pour le Royaume une question vitale pour "sa souveraineté et son intégrité territoriale". Mejia, qui a coprésidé avec l'ambassadeur, directeur général des relations bilatérales au ministère des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Fouad Yazourh, la 2-ème commission mixte de coopération technique et scientifique entre la République de Colombie et le Royaume du Maroc, a exprimé le "soutien permanent" de son pays au Maroc. Par ailleurs, la vice-ministre colombienne a souligné l'importance que représente le Maroc pour la Colombie, en tant que partenaire stratégique et porte d'entrée vers le continent africain et le monde arabe.
L’Economiste :
• La présidence du ministère public a ordonné à ses 391 procureurs de veiller à l'application des lois protégeant l'ordre public économique: concurrence, propriėté industrielle, difficulté d'entreprise... Dans une circulaire, elle insiste sur la coordination et l'échange d'information entre procureurs des tribunaux de droit commun (pénal, civil...) et ceux du commerce. Ces magistrats ont été également appelés à mettre à profit les nouvelles dispositions sur les difficultés d'entreprise en vigueur depuis avril 2018: liquidation, redressement judiciaire.. Le chef du parquet incite à recourir à «des mécanismes juridiques réalistes».
• C’est sur une note plutôt négative que démarre l'année: le déficit budgétaire à fin janvier s'établit à 1,5 milliard de DH contre 138 millions de DH un an auparavant. Le premier mois de l'année est marqué par une hausse des dépenses: 17,3%. Elles sont tirées par les charges de fonctionnement: 22,5 milliards de DH dont 12,6 milliards de salaires. Les dépenses du personnel ont pris 39,7% sous l'effet de l'augmentation structurelle de la masse salariale de 18,1%. Les dépenses de fonctionnement sont également marquées par l'accroissement de 162,8% des remboursements et restitutions fiscaux: 491 millions de DH sur une prévision de 8,1 milliards de DH.
Aujourd’hui le Maroc :
• Une toute première station de conditionnement de fruits et légumes verra le jour à Dakhla pour accompagner le développement et l'essor considérable que connaît le secteur agricole au niveau de cette région du Sud marocain, devenue ces derniers temps un véritable pôle agricole régional. Ce projet piloté par le Conseil régional de Dakhla-Oued Eddahab nécessitera un investissement total de 109 millions de dirhams et a déjà fait l'objet d'un appel d'offres remporté par la société casablancaise Inter Tridim. Les travaux qui devront démarrer dans les semaines qui viennent seront réalisés en lot unique. La future station s'étendra sur une superficie totale de 17.750 m2 et comprendra entre autres 11 zones de traitement et de conditionnement, ainsi que des locaux techniques et réfectoires.
• Les polycliniques de la CNSS font face à un manque de médecins et d’infirmiers. La situation n'est certes pas nouvelle, mais elle ne fait que s’aggraver. L’exercice 2019 a été marqué par une nouvelle baisse des effectifs plein temps des polycliniques. Il est passé de 1.145 en 2018 à 1.061 en 2019. Dans son bilan d'activité provisoire au titre de l'année 2019, la CNSS signale que 172 départs ont été enregistrés en 2019 contre 80 recrutements (administratifs, médecins et infirmiers) alors que la loi-cadre prévoyait 122 recrutements. Les postes non pourvus sont principalement ceux des médecins spécialistes qui n'ont pas répondu à l'avis de recrutement de la CNSS.
Al Bayane :
• Le Maroc a souligné, à l’Union africaine à Addis-Abeba, l’urgence d’une action collective contre l’épidémie du Coronavirus notamment à travers le Centre Africain pour le Contrôle et la Prévention des maladies (CDC-Africa). Lors d'une réunion du Conseil de Paix et de Sécurité de l'UA consacrée aux épidémies d'Ebola et de Coronavirus, le Maroc a plaidé pour une action collective et urgente de l'Afrique, à travers le partage des expériences entre pays africain, en soulignant à cet égard, le rôle majeur que devra jouer le CDC-Africa. L’Ambassadeur Représentant Permanent du Royaume auprès de l’UA et de la CEA-ONU, Mohamed Arrouchi a souligné l’impératif de réunir les experts et décideurs africains afin de finaliser la stratégie africaine concernant la prévention et la lutte contre l'épidémie de Coronavirus.
• Le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki et le président de la Chambre des conseillers, Hakim Benchamach ont eu des entretiens avec le président du parlement latino-américain, Jorge Pizarro Estéban, sur les moyens de renforcer les relations entre les deux institutions législatives. Selon un communiqué conjoint des deux chambres du parlement, les deux parties ont salué l'initiative de créer un forum parlementaire qui comprend les parlements des pays d'Afrique et d'Amérique latine et des Caraïbes, en tant qu'espace d'action commune et un mécanisme de dialogue politique parlementaire et d'enrichissement du débat et de la concertation parlementaires africains et latino-américains autour des questions stratégiques prioritaires.
L’Opinion :
• Le niveau du taux de croissance est passé de 3,2% par an du PĪB réel entre 1990 et 1999 à 4,1% entre 2000 et 2019. Les indicateurs du développement humain ont grimpé passant de 0.456 à 0,667. Selon Policy Center for the new South, cela est dû à l'amélioration des systèmes de santé et d’éducation, et d'une augmentation significative du revenu national brut par habitant qui s’élève désormais à 7 480 dollars américains en matière de parité de pouvoir d'achat (PPA). Cependant, il est devenu de plus en plus clair que ce modèle a atteint ses limites. Selon le HCP, la croissance a stagné autour de 2.4% en moyenne entre 2010 et 2019, empêchant, ainsi, le pays d’évoluer vers un statut de pays à revenu élevé.
• Que ce soit avec la Turquie, l'Union Européenne ou les Etats-Unis, le Maroc enregistre des déficits sur tous les accords de libre-échange (ALE) qu'il a conclus. Avec l’UE, C’est entre 75 et 78 milliards de Dhs par an. Avec les Etats-Unis, ce sont quelque 20 milliards de Dhs. Sauf que ces derniers, contrairement à la Turquie font d’importants apports en capitaux au Maroc. ĽUE représente 71% des investissements étrangers dans le Royaume, les Etats-Unis, 6%, la Turquie, 1%.
Libération :
• Le Président de la CGEM, Chakib Alj, a appelé à consolider le rôle du secteur privé et de l'entreprenariat dans le cadre du nouveau modèle de développement. "Nous vivons aujourd'hui une crise de confiance. En vue de la (confiance, ndlr) rétablir, nous avons proposé de consolider le rôle du secteur privé et de l'entreprenariat et de les placer au cœur du nouveau modèle de développement", a déclaré à la presse Alj à l'issue d'une réunion de la Commission spéciale sur le modèle de développement (CSMD) avec les représentants de la CGEM. Il est important "de marquer une rupture avec le modèle actuel", à travers l'intégration du secteur informel, l'instauration d'un nouveau modèle de développement axé sur la solidarité, l'efficacité et la transparence, l'intégration des jeunes et de la femme ainsi que le renforcement du rôle de la culture, a-t-il souligné.
• Le ministère de l'Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique -département de l'éducation nationale- a annoncé le lancement de la nouvelle plateforme baptisée "Tadqiq" dédiée aux candidats du baccalauréat, session juin 2020. Cette plateforme, qui sera lancée à travers le portail électronique du ministère via le lien (https://moutamadris.men.gov.ma), vise à fournir une base de données précises et actualisées, avec des données identiques à celles contenues dans les dossiers de candidature et les documents officiels au niveau de l'établissement scolaire, indique le ministère dans un communiqué. L'objectif est d'éviter les erreurs au moment de la saisie des données personnelles des élèves et dont la correction coûte cher aussi bien aux candidats qu'à l'administration scolaire, souligne la même source, notant que l'ensemble des candidats sont appelés à vérifier leurs données personnelles afin qu'ils puissent recevoir une convocation pour passer les examens du baccalauréat et d'accéder au service électronique "Minhaty".
Akhbar Al Yaoum :
• Bonne nouvelle pour plus de 13.000 étudiants des provinces de Chefchaouen et Ouazzane qui poursuivent leurs études à Tanger et à Tétouan. Le Conseil d’administration de l'Université Abdelmalek Essaâdi a approuvé deux projets de création d’une faculté polydisciplinaire à Ouezzane et d’une faculté d’économie et de gestion à Tétouan. Une source du Conseil de la Région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, a fait savoir que la version proposée de la convention, à cet effet, entre la Région et le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique sera examinée par les membres du Conseil au mois de mars, avant son adoption et son transfert aux ministères des Finances et de l'Intérieur. En attendant, poursuit la même source, un bureau d'études techniques a déjà entamé une étude de terrain à Chefchaouen sur le terrain prévu pour la construction de la faculté, tandis qu'à Ouazzane, le foncier dédié à la réalisation de la faculté pluridisciplinaire a été déterminé au niveau de la commune de Masmouda, à 5 km de la ville de Ouazzane.
• Le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki, a encore évoqué les retraites des Parlementaires. S'exprimant lors d'une conférence de presse, El Malki, a indiqué que ce dossier a pris une ampleur exagérée, notant que le parlementaire, qui est élu par des dizaines de milliers d'électeurs, jouit d'un statut particulier. Cette représentativité implique un minimum de respect, estime-t-il, faisant savoir que "les parlementaires sont très bien considérés dans toutes les démocraties, malgré un mouvement populiste dans certains pays, mais qui reste limité". On ne peut parler de rente puisque le député cotise à hauteur de 2900dh/mois pour sa retraite, a précisé El Malki, rappelant la réforme proposée dans ce sens et selon laquelle le Parlementaire ne peut toucher sa pension de retraite qu'après l'âge de 65 ans.
Al Massae :
• Le ministre de l'Economie et des Finances s'est absenté 15 fois sur 15 séances plénières de la Chambre des Conseillers, selon des données de la deuxième Chambre. Le ministre de l'Economie est suivi en deuxième position par le ministère de l'Agriculture qui a séché 14 séances, puis le ministère de la Santé avec 13 absences. Chez les bons élèves, le ministre d'État chargé des Droits de l'Homme et des Relations avec le Parlement a assisté à toutes les séances plénières de la session d'octobre de l’année législative 2019-2020, suivi du département de la Justice avec 11 séances, puis le ministère de l'Energie, des mines et de l'environnement et le ministère délégué chargé des Marocains résidant à l'étranger avec 10 séances.
• Le groupe Al Omrane et l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (lRESEN) ont signé, mercredi à Rabat, une convention cadre portant sur un nouveau partenariat institutionnel dans le domaine de l’amélioration des procédés et la promotion de l'innovation en matière de matériaux et procédés de construction et d'aménagement. Signée par le Président du directoire du Groupe Al Omrane Badre Kanouni et le Directeur Général de l'lRESEN Badr Ikken, cette convention cadre permet aux deux organismes de franchir une nouvelle étape dans leur engagement en faveur du développement durable, réaffirmant par cette alliance l'importance et l’intérêt qu'ils accordent à l’innovation. L'objet de ladite convention étant de définir les conditions et modalités de collaboration dans les thématiques des matériaux de construction durable, les techniques de conception et de construction et l'amélioration du concept des bâtiments à haute efficacité énergétique, en y associant des start-ups actives dans ce domaine.
Al Ahdath Al Maghribia :
• La coopération entre institutions demeure un moyen efficace pour la réussite des missions de contrôle à posteriori de la mise en œuvre des lois, a indiqué, mercredi à Rabat, le ministre d'État chargé des Droits de l'Homme et des Relations avec le Parlement, Mustapha Ramid. Intervenant à l’ouverture de l’atelier-débat sur le contrôle à posteriori de la mise en œuvre des lois, organisé par la Chambre des conseillers, en partenariat avec la Fondation Westminster pour la démocratie, M. Ramid a affirmé que cette coopération est possible compte tenu de la structure constitutionnelle actuelle du Royaume, ayant permis la création de nouvelles institutions constitutionnelles et le renforcement et la promotion du statut des institutions existantes, en plus de la mise en place et de la promotion des moyens de coopération avec le parlement. A cet égard, le ministre d’État a souligné que le contrôle à posteriori de la mise en œuvre des lois fait référence à tout ce qui concerne le suivi de la mise en œuvre et l'évaluation de la faisabilité, relevant des attributions générales du Parlement, que ce soit dans l'exercice de la compétence législative ou le contrôle ou l'évaluation des politiques publiques.
• Comme publié au Bulletin officiel du 28 novembre 2019, se référant au décret 2.19.930, l’association "Réseau Entreprendre Maroc" a été officiellement Reconnue d’utilité publique. Au-delà de l’appellation, cette reconnaissance donne plusieurs avantages à l’association dont la première est la crédibilité des missions et des actions. Cette reconnaissance octroie également à l’association des avantages de nature essentiellement fiscale. Il s'agit d'un véritable levier de développement pour pouvoir collecter plus facilement les fonds nécessaires à ses actions, et ce, grâce à la traçabilité dont ils bénéficieront. Par ailleurs le Réseau Entreprendre Maroc aura, désormais, la possibilité de recevoir des dons déductibles d’impôt (IS ou IR) pour le donateur moral ou physique.
Al Alam :
• Le délai de traitement des affaires soumises aux juridictions commerciales de Marrakech a enregistré "une réduction notable" au cours de l'année écoulée, indique un rapport sur le bilan annuel des affaires de commerce. Au niveau du tribunal de commerce, le délai de traitement des dossiers d’arrêt de l’exécution a été porté à 8,7 jours, des dossiers urgents à 24,89 jours, des affaires relatives aux litiges bancaires à 142 jours, des litiges entre partenaires d’une société à 157,48 jours et des affaires complexes à 239,65 jours. S’agissant de la liquidation des anciennes affaires, le rapport relève que tous les dossiers remontant aux années précédentes ont été traités, précisant qu’au niveau de la Cour d'appel de commerce de la ville ocre, il restait seulement deux affaires datant de 2015, 11 dossiers de 2016, 35 dossiers de 2017 et 149 dossiers de 2018, alors qu’à l’échelle du tribunal de commerce, seulement 19 dossiers au titre de 2018 étaient en attente.
• La présidente de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA), Mme Latifa Akharbach a souligné que « la représentation inéquitable de la femme dans les contenus et dans les niveaux de décision médiatiques a un coût social, économique et démocratique ». Intervenant lors d'une conférence régionale initiée par l’Institut Panos pour l’Afrique de l’Ouest (11-13 février) autour du thème « Bâtir et réguler ensemble un environnement médiatique inclusif du genre », Mme Akharbach a indiqué que « la représentation minorée de la femme dans les contenus médiatiques prive la société de la perspective féminine sur les grandes questions d’intérêt public et inhibe la détermination de la femme à s’impliquer dans les chantiers de développement au moment où les efforts de tous sont requis ».
Al Ittihad Al Ichtiraki :
• Les efforts déployés par le Parlement ne vont pas de pair avec les moyens financiers, a indiqué le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki. La réactivité du gouvernement dans le domaine législatif reste en deça des attentes de la Chambre des Représentants, a ajouté El Malki, qui qui exposait le bilan de la session d'octobre de l'année législative 2019-2020. Il a appelé l'Exécutif à davantage de coopération Dans un cadre de consensus sur les questions de fonds en matière de législation. S'agissant de l'action parlementaire, El Malki a précisé que près de 130 réunions ont été organisées au cours de cette session législative et que 7 commissions d'enquête parlementaire sont sur le point d'achever leurs missions, notant que plusieurs questions orales et écrites n'ont toujours pas trouvé de réponses auprès du gouvernement et que 152 textes de loi sont toujours en suspens.
• Le président du parlement latino-américain, Jorge Pizarro Estéban Soto, a affirmé appuyer les efforts du Secrétaire général des Nations-Unies, afin de parvenir à une solution à la question du Sahara. Dans une déclaration à la presse, à l'issue de son entretien avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, Estéban Soto a souligné que cette réunion a été également l’occasion, pour la délégation latino-américaine, de s’informer du processus mené sous l’égide des Nations-Unies visant à trouver une solution à la question du Sahara, tout en exprimant son appui à ce processus. Cette rencontre, ajoute le responsable, a permis à la délégation parlementaire latino-américaine de prendre connaissance des "progrès réalisés par la politique extérieure" du Royaume, particulièrement en matière de coopération internationale et de consolidation des relations politiques, commerciales et culturelles entre le Maroc et l’Amérique latine. Rissalat Al Oumma :
• Sa Majesté le Roi Mohammed VI a procédé, mercredi à la commune d'Ait Melloul (préfecture d’Inezgane-Aït Melloul), à l’inauguration de la plateforme des jeunes «Argana» pour l’écoute et l’orientation, donnant ainsi une forte impulsion aux programmes de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH), qui est à sa troisième phase. Ce projet, réalisé dans le cadre du programme III de l’INDH «Amélioration du revenu et inclusion économique des jeunes», témoigne de l’intérêt particulier que porte le Souverain à l’épanouissement des jeunes et de Sa volonté de les doter d’outils variés à même de stimuler l’esprit d’initiative et d’entrepreneuriat chez eux et de leur garantir une meilleure intégration socio-économique. Il permettra aux jeunes de la région Souss-Massa de tirer le meilleur parti du «Programme intégré d’appui et de financement des entreprises», qui a été élaboré conformément aux Hautes Orientations Royales et qui comporte plusieurs mesures destinées à contenir et à dépasser les difficultés entravant l’accès au financement des jeunes porteurs de projets et des très petites et petites entreprises.
• Lors d'une rencontre avec les principales centrales syndicales de l'Enseignement, le Ministère de l'Education nationale, de la formation professionnelle, de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, représenté par son directeur des Ressources humaines, a proposé, entre autres, de remplacer le statut du personnel des cadres des Académies régionales de l'éducation et de la formation (AREF), par un statut qui garantit une similarité entre le recrutement par contrat et le recrutement statutaire, l'amélioration des conditions des professeurs contractuels et leur titularisation sans passer par l'examen professionnel.
Bayane Al Yaoum : • "Le Maroc est le seul pays arabo-musulman qui s'intéresse à son patrimoine culturel juif", étant l'un des affluents de l'identité nationale, a souligné, Zhor Rehihil, conservatrice du Musée du judaïsme marocain. Les plus importants centres s'intéressant au patrimoine juif sont des centres Ashkenazes qui traite du patrimoine juif de occidental, a-t-elle précisé, notant que "le Royaume, qui est le seul pays arabo-musulman resté attaché à son patrimoine hébreux, a lancé plusieurs initiatives pour le préserver et le valoriser". Premier du genre dans le monde arabo-musulman, le Musée du judaïsme marocain de Casablanca, qui préserve le patrimoine judéo-hébraïque, a été créé en 1997, à l'instar du musée du judaïsme de Paris, a ajouté Zhor Rehihil lors d'un colloque organisé en marge SIEL à Casablanca.
• La Conseillère du président américain, Ivanka Trump a salué, à Washington, les "réformes importantes et audacieuses" entreprises par le Maroc en faveur de l’émancipation économique des femmes. Dans une allocution à l’occasion de la célébration au département d’Etat du 1er anniversaire de l’Initiative de développement économique des femmes (W-GDP), Mme Trump a relevé que "deux des étapes les plus marquantes de la première année d’existence du W-GDP reviennent aux gouvernements de Côte d’Ivoire et du Maroc qui ont chacun introduit des amendements à des lois pour promouvoir l’émancipation économique et rétablir les droits fonciers et de propriétés des femmes". "Nous saluons ces gouvernements pour avoir mené ces réformes importantes et audacieuses", a déclaré la Conseillère du président américain, notant que "les Etats-Unis sont impatients et prêts à travailler avec tout pays qui a la volonté d’agir pour éliminer les obstacles" qui entravent le plein épanouissement économique des femmes.