La Grèce demande une restructuration de sa dette publique passant par des refinancements à taux plus avantageux, un allongement des maturités voire l'effacement d'une partie du principal, une conversion partielle en dette perpétuelle ou en obligations indexées sur la croissance.
Aucune de ces pistes détaillées par Athènes dans deux documents soumis la semaine dernière à ses créanciers n'a obtenu leur soutien.
La Grèce a fait de la restructuration de sa dette qui atteint 175% du produit intérieur brut l'un des principaux enjeux des négociations avec ses créanciers, mais Athènes n'avait guère donné de détails sur ses demandes.