"Une plus grande flexibilité du régime de change va bénéficier à l'économie marocaine en préservant les réserves et la compétitivité et en renforçant sa capacité d’absorption des chocs externes", a expliqué le chef de mission du FMI au Maroc lors d'un conférence lundi. Roberto Cardarelli a tout de même concédé "qu'il y a encore beaucoup de travail de préparation". Il a insisté sur le rôle central de Bank Al-Maghrib qui reste souveraine dans le calendrier de cette réforme, indiquant à l'occasion que le timing du passage à la deuxième phase était judicieux et que cette opération est une réussite.
Il a noté que les autorités sont en train d’assurer un suivi étroit des conditions de déroulement de la transition et d’approfondir les études sur tous les volets pour juger du moment opportun pour entamer une nouvelle phase.