C'est un tableau noir qui a été présenté par le groupe Alliances le 10 mai. Le communiqué de presse publié et la réunion organisé avec un petit groupe de journalistes le soir même ont provoqué une grande frustration aussi bien chez les professionnels que les particuliers, qui s'attandaient à un effort de communication plus important : Au moins une actualisation du business plan. La sanction n'a pas tardé, car dès le lendemain, le titre perdait 10% à la clôture, laissant présager une nouvelle descente aux enfers.
Mais le management d'Alliances cherche maintenant à se rattraper. Une sortie médiatique dans la presse aujourd'hui et des précisions sur le sort de Sindibad, un projet que les analystes détestent tout autant que le projet Lixus, ont permis au marché de retrouver un semblant de confiance. Depuis midi, Alliances est réservée à la hausse. Le titre gagne 10%, volumes à l'appuie. De plus, Ahmed Ammor évoque enfin le rôle de l'Etat dans les négociations. Alliances serait en en effet en discussion avec les pouvoirs publics concernant la station Lixus, alors que la part du promoteur dans Sindibad (50%) a été vendue à la Somed, qui se retrouve avec la totalité des actifs du programme, rapporte l'Economiste.