Le poids des créances douteuses sur l'encours global des prêts octroyés par les banques cotées sur le Nairobi Securities Exchange, a atteint 11,5% au terme du premier semestre de 2017, soit son niveau le plus élevé au cours des huit dernières années.
Cette hausse est attribuable notamment à une "légère dégradation" de l'environnement économique en raison des incertitudes liées aux élections générales tenues dans le pays en août dernier, a expliqué la banque centrale (CBK) dans son dernier rapport de supervision bancaire, relayé par des médias.