"...Ailleurs en Afrique, nous nous concentrons principalement sur les pays anglophones tels que le Kenya, le Nigeria et le Ghana, où notre marque résonne particulièrement. [...] Nous voyons notre entreprise croître de manière organique dans toutes les régions africaines [...]. Cependant, nous recherchons également des opportunités d'affaires au Maroc et en Égypte. Nous ne sommes pas partout, mais sommes très concentrés », a-t-il déclaré dans cet entretien rapporté par La Tribune Afrique et Le Desk.
Le géant britannique adopte pourtant depuis quelques années une position passive en Afrique, se faisant dépasser par des acteurs panafricains locaux. C'est ainsi qu'il a finalisé en 2017 la vente de sa filiale égyptienne à Attijariwafa bank. Cette acquisition a permis au groupe Attijariwafa bank d’étendre son réseau international au sein de la troisième économie africaine riche de 100 millions d’habitants.
Selon La Tribune Afrique, le marché marocain pourrait représenter un terreau fertile pour Barclays sur l'activité de banque privée. Le groupe britannique a d'ailleurs repris cette année les activités de gestion de fortune de Crédit Suisse dans neuf marchés africains dont la Côte d'Ivoire, Maurice et les Seychelles.