(MAP), Voici les principaux tires développés par la presse nationale.: *Le Matin.:
-Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a présidé, dimanche à Agadir, la cérémonie de présentation de la déclinaison régionale du Plan d’Accélération Industrielle 2014-2020 dans la région de Souss-Massa et de signature de huit conventions et d’un protocole y afférents. Le projet industriel du Souss-Massa, qui amorce la déclinaison régionale de la stratégie industrielle nationale, s’inscrit dans la vision royale qui prône, à travers le déploiement du processus de régionalisation avancée, un développement territorial équitable, équilibré, inclusif et adapté aux spécificités de chaque région.
- Engagée dans une stratégie de dématérialisation depuis plusieurs années, l’administration fiscale récolte les fruits de ce chantier. Si ses contrôles se sont multipliés ces dernières années, renflouant les caisses de l'Etat, ils sont devenus plus ciblés et fiables, à en croire la Direction générale des impôts. En 2018 encore, les contrôles vont aller crescendo. Et pour assurer cette nouvelle montée en gamme, le Fisc prévoit de renforcer ses équipes.
*Aujourd'hui le Maroc.
-Face à la pénurie des enseignants-chercheurs et faute de pouvoir décrocher plus de postes budgétaires (400), le ministère de l’Education nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a fait appel cette année à 400 professeurs de lycée titulaires de doctorat. Ces derniers, dont le statut demeurera inchangé, seront affectés dans ces universités pour une période de trois ans renouvelables.
-Le RNI a souligné l’importance majeure de redonner confiance aux investisseurs et inciter les entreprises à créer des opportunités d’emploi au profit des jeunes diplômés. Selon son président Aziz Akhannouch, qui s’exprimait lors du congrès régional de Casablanca-Settat, cet objectif est réalisable grâce notamment à la stabilité politique, économique et environnementale du pays, qui favorise un climat d’affaires propice pour les investissements. Akhannouch a souligné que le Maroc a créé les infrastructures stratégiques nécessaires pour l’émergence économique.
*L’Economiste.:
-L’hécatombe continue pour les TPE. En 2017, plus de 8.000 entreprises en liquidation ou redressement judiciaire ont été enregistrées, soit trois fois plus de faillites qu’il y a 9 ans! Le premier trimestre a été le plus meurtrier avec près de 40% des défaillances de l’année. Le commerce est le plus impacté par la sinistralité, selon les données exclusives d’Inforisk. Il est suivi par le BTP et l’immobilier.
-Les futures entrepreneurs et porteurs de projets devront certainement bien tirer profit de l’ère de la digitalisation. Dans le domaine de l’éducation, le Maroc n’arrive toujours pas à prendre le cap du e-learning. L’enseignement classique prime encore et les écoles publiques sont les moins dotées en nouvelles technologies. Le gap demeure important entre les établissements scolaires étatiques et ceux du privé.
*L’Opinion.:
-La part des énergies renouvelables dans le mix électrique national a atteint 34% à fin 2017, a affirmé vendredi le président du directoire de l'Agence marocaine pour l'énergie durable (MASEN), Mustapha Bakkoury, rappelant que le Maroc s'était fixé comme objectif de porter la contribution de ces énergies à 42% du mix énergétique national en 2020 et à 52% en 2030. L’année 2018 connaîtra la mise en exploitation des centrales NOOR Ouarzazate II, NOOR Ouarzazate III, et NOOR Ouarzazate IV, ainsi que Noor Laâyoune I et Noor Boujdour I, a-t-il précisé.
*L'évolution du taux de change du dirham depuis le 15 janvier 2018, date d'entrée en vigueur du nouveau régime, montre qu'il est resté stable à l'intérieur de l'ancienne bande de fluctuation de ±0,3, a indiqué vendredi le ministre de l’Economie et des Finances, Mohamed Boussaid. Depuis le passage à un régime de change plus flexible, le niveau des réserves de changes se maintient à plus de 6 mois d'importations, a souligné Boussaid lors d’un point de presse consacré à la présentation des résultats préliminaires de l’économie marocaine de l’année 2017.
*Libération.:
-Le Centre marocain de conjoncture (CMC) prévoit un tassement par rapport aux prévisions du second semestre de 2017. Ainsi, le taux de croissance du PIB se situerait en 2018 à 3,3% au lieu de 3,7% anticipé initialement, associé à un ralentissement de l’activité économique. Les perspectives contrastées des principaux ressorts de croissance tant au niveau interne qu’externe en sont les principales causes.
- Le dirham s'est apprécié de 0,42% par rapport au dollar et s’est déprécié de 0,28% vis-à-vis de l’euro, au cours de la deuxième semaine de mise en œuvre de la réforme du régime de change, selon les indicateurs hebdomadaires de Bank Al-Maghrib. Durant la période allant du 18 au 24 janvier 2018, Bank Al-Maghrib affirme avoir procédé à trois opérations de vente de devises pour un montant total de 6 millions de dollars, avec un cours moyen de 9,2189 dirhams.
*Al Bayane.:
-Le secrétaire-général de l’Onu, Antonio Guterres, a visité dimanche l'exposition sur la contribution du Maroc aux opérations de paix et de sécurité et à l’action humanitaire en Afrique, organisée en marge du 30è sommet de l’Union africaine, qui se tient au siège du bloc panafricain, à Addis-Abeba. Accompagné par le chef du gouvernement, Saad Eddine El Othmani, Guterres a suivi des explications sur cette exposition donnée par des officiers de l’Etat-major général des Forces Armées Royales.
-Les architectes jouent un rôle pionnier dans l'édification du Maroc moderne et la poursuite du processus de développement que connait le Royaume, a souligné le chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani, lors de la cérémonie de remise de diplômes aux lauréats de la 32-ème promotion de l’École nationale d'architecture à Rabat. El Othmani a souligné que la contribution des architectes touche aussi bien l'aménagement du territoire, l'amélioration du cadre de vie et la mise à niveau du paysage urbain que le développement et les mutations socio-économiques.
*Akhbar Alyaoum. :
- La décision du gouvernement de contracter un emprunt des banques marocaines pour rembourser les arriérés de TVA au profit des entreprises privées continue de susciter des réactions divergentes. Les partisans de la décision estiment que cette démarche permettra aux entreprises d'appuyer leurs finances, améliorer les conditions de leur fonctionnement et donner de l’élan à leurs programmes d’investissement, alors que les détracteurs considèrent que cette décision aggravera l’endettement public, qui a déjà atteint des proportions alarmantes, soit 85 milliards de dollars, l’équivalent de 85% du PIB.
*Al Massae. :
- Le ministre de l’Intérieur a chargé une commission spéciale pour vérifier les infractions constatées au niveau de l’urbanisme dans les banlieues et les ensembles de logements économiques, qui n’auraient pas respecté le cahier des charges et les plans architecturaux. La formation de cette commission a été conçue suite à une réunion tenue entre les ministres de l’Intérieur et de l’urbanisme. Une circulaire, qui a été envoyée aux walis, aux gouverneurs, aux présidents de collectivités territoriales et aux directeurs d’agences urbaines, soulignait l’urgence d’accomplir cette mission.
*Assabah. :
- Ahmad Ahmad, président de la Confédération africaine de football (CAF), a affirmé que ce que SM le Roi Mohammed VI et les Marocains accordent à l’Afrique dans tous les domaines est "sans précédent", précisant que les investissements du Royaume en Afrique ont dépassé certains des pays européens. Dans un entretien au journal, Ahmad a souligné que le Maroc "n’attend pas uniquement nos propositions", mais présente des offres remarquables qui profiteraient largement au continent africain et serviraient la coopération sud-sud, qui reste la seule voie pour le progrès et le développement du continent.
*Al Ahdath Al Maghribia. :
- Sur fond des remous créés par la hausse excessive des prix des carburants et des craintes de voir cette augmentation relever les prix des produits de consommation, la commission d’enquête parlementaire sur les carburants s’apprête à déposer son rapport sur le bureau de la Chambre de représentants. La commission doit présenter ce rapport au maximum la semaine prochaine.
*Rissalat Al Oumma. :
- Le Bureau des Nations Unies à Rabat vient de dévoiler que le Maroc se classe au 14è rang mondial en termes de contribution à la mission de maintien de la paix de l’ONU (les casques bleus). Le Maroc participe avec 1.610 membres, dont 1.586 soldats, répartis en deux missions. La première en République Démocratique du Congo (RDC) depuis 2010 et la seconde en République Centrafricaine (RCA) depuis 2014.
*Al Alam. :
- Naim Miara, secrétaire général de l’UGTM, affirme que ce syndicat ne peut en aucun cas renoncer à son rôle consistant à défendre les classes moyennes, la sécurité et la stabilité dans le pays. Intervenant lors du congrès extraordinaire du syndicat national des professionnels des taxis, Miara a appelé à se mettre d’accord sur un cahier revendicatif commun afin de pouvoir le défendre devant le gouvernement.
*Bayane Alyaoum. :
- L'évolution du taux de change du dirham depuis le 15 janvier 2018, date d'entrée en vigueur du nouveau régime, montre qu'il est resté stable à l'intérieur de l'ancienne bande de fluctuation de ±0,3, a indiqué le ministre de l’Economie et des Finances, Mohamed Boussaid. Depuis le passage à un régime de change plus flexible, le niveau des réserves de changes se maintient à plus de 6 mois d'importations, a souligné Boussaid lors d’un point de presse consacré à la présentation des résultats préliminaires de l’économie marocaine de l’année 2017.
*Al Ittihad Al Ichtiraki. :
- Le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki, s’est entretenu vendredi avec le ministre d’État britannique chargé du développement international et de la région MENA, Alistair Burt, qui effectuait une visite de travail au Maroc. Lors de cette rencontre à laquelle a assisté l'ambassadeur britannique au Maroc et la directrice de la Fondation Westminster pour la démocratie, El Malki s'est félicité des relations séculaires de fraternité et d'amitié qui unissent les deux pays dans les domaines de la politique, de la sécurité, de l'économie, de la finance et de la culture.