Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce mercredi :
*L'Economiste. :
- La CGEM invite, jeudi 26 courant, gouvernement, syndicats et institutions publiques à une réflexion sur la construction d’un nouveau contrat social. Pour le patronat, le progrès économique et le progrès social sont indissociables. Dans ce paradigme, le législateur doit élaborer des textes permettant à l’entreprise d’être capable d’affronter la concurrence internationale. Et à celles qui utilisent la triche aux cotisations sociales comme levier de la compétitivité, de se conformer à la loi.
- Se placer en tiers de confiance, c’est ainsi que la plateforme portuaire de Tanger Med compte évoluer. Pour le directeur du port roulier de cette plateforme, Hassan Abkari, il s’agit d’assurer l’interface de manière réussie entre client et transporteur afin d’éliminer retards et entraves au cours du transport. Le port roulier entend tirer profit de sa position stratégique à proximité immédiate d’un marché de plus de 600 millions de consommateurs qu’est l’Europe.
*Aujourd’hui le Maroc. :
- Les clients d’une compagnie d’assurance qui détiennent des produits d’épargne retraite peuvent désormais transférer en toute liberté leurs épargnes d’une assurance à l’autre sans aucune restriction. C’est en tout cas ce qui est prévu, en théorie, en vertu des dispositions de la loi de Finances 2018. La mesure a commencé par faire beaucoup d’heureux parmi les épargnants. Et pour cause, pour changer de compagnie dans le passé, les clients qui détenaient des produits retraite étaient obligés de faire une opération de r*L’Opinion. :
- La Direction générale des impôts vient de communiquer son nouveau dispositif fiscal de facilitation institué au profit des entreprises rencontrant des difficultés temporaires les empêchant de poursuivre leur activité. Ce dispositif, applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2018, s’applique aux entreprises qu’elles soient imposables à l’impôt sur les sociétés ou à l’impôt sur le revenu au titre de leurs revenus professionnels déterminés selon le régime du résultat net créé ou celui du résultat net simplifié ou qu’elles en soient exonérées.
- Le stand du Maroc au saloon ITB Berlin 2018 a obtenu le 3ème prix dans la catégorie Afrique. Le critère retenu, celui de la conception reflétant la richesse patrimoniale, architecturale d’un pays participant. Or pour cette édition, le stand du Maroc a connu une grande innovation. C’est celle de la participation d’Agadir Souss Massa avec son propre stand régional. Une première dans les annales de la promotion régionale marocaine à Berlin.
*Al Bayane. :
- Quelque 47.161 poches de sang ont été collectées au cours de la caravane de don de sang, organisée par le ministère de la Santé du 19 février au 25 mars derniers. L'objectif initial était fixé à 37.100 poches, selon un document rendu public mardi. Le stock national a atteint 13.838 poches de sang, correspondant aux besoins de 18 jours.
- Le budget alloué à la mise à niveau des hôpitaux s'est élevé à 730 millions de dirhams (MDH) en 2017, a indiqué le ministre de la santé, Anas Doukkali. Le ministre a rappelé devant les députés que le secteur de la santé connait plusieurs contraintes, citant le manque de ressources humaines, l'augmentation de nombre de patients, qui est passé de 6 millions à 11 millions de personnes actuellement.
achat de la totalité de leurs cotisations et, au passage, s’acquitter de pénalités au titre dudit rachat, avant de pouvoir souscrire à un autre produit auprès d’une autre compagnie.
- Le Maroc a été brillamment élu, lundi, par le Conseil Economique et Social des Nations Unies (ECOSOC), à trois importants organes des Nations Unies. Il s’agit du Conseil d’administration d’ONU-Femmes, du Conseil d’administration de l’UNICEF et de la Commission du développement social. Cette triple élection témoigne du rayonnement diplomatique du Royaume du Maroc, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. *Libération. :
- Le Maroc s’est-il réconcilié avec son passé en matière de droits de l’Homme ? Si d’aucuns jugent que ce dossier est désormais clos et qu’il fait partie du passé, d’autres pensent au contraire que les questions des disparations forcées, de l’usage disproportionné de la force, des détentions arbitraires ou des réformes juridiques et institutionnelles demeurent un chantier ouvert. L'Instance de suivi des recommandations du 1er Colloque national sur les violations des droits de l'Homme fait partie de ce deuxième camp. Pour les associations regroupées au sein de cette instance, les nombreuses mutations en matière de droits de l'Homme en cours depuis 2001 et les derniers événements politiques qui ont marqué la scène politique les obligent à évaluer le processus de régularisation du dossier des violations graves des droits de l’Homme et de marquer une rupture avec ce passé pour que plus jamais cela ne se reproduise. Un colloque international sera organisé, à ce propos, les jours qui viennent à Marrakech.
- IFC, membre du Groupe de la Banque mondiale, s’associe à la Bourse de Casablanca pour développer l’attractivité des entreprises marocaines vis-à-vis des investisseurs. Ce partenariat s’inscrit dans le cadre des efforts déployés par IFC, la branche de la Banque mondiale dédiée au secteur privé, pour soutenir la création d'emplois et la croissance économique au Maroc. IFC conseillera la Bourse de Casablanca dans sa stratégie d’accompagnement des PME dans les domaines de la gouvernance et de la communication financière.
*Le Matin. :
- Le taux d’exécution des jugements impliquant les compagnies d’assurance en 2017 a dépassé 113% des dossiers enregistrés, a affirmé Mohamed Aujjar. Le ministre de la Justice, qui s’exprimait au Parlement dans le cadre de la séance des questions orales, a souligné qu’au niveau des tribunaux administratifs, ce taux a été de l’ordre de 111% en 2017, alors qu’au niveau des tribunaux de première instance, il a été de l’ordre de 106%.
- Dans un nouveau rapport, la Banque mondiale recommande au Maroc de s’orienter vers un modèle économique basé dans une plus large mesure sur les exportations, et dans lequel le secteur privé jouera un rôle plus important en tant que promoteur de la croissance et de l’emploi. Le modèle actuel fondé sur la demande intérieure, en particulier l’investissement public, montre des signes de faiblesse, "car sa viabilité est compromise par des obstacles qui pourraient, à divers degrés, entraver la poursuite des progrès".
*Bayane Alyaoum. :
- Le marché national sera approvisionné en denrées alimentaires de façon normale durant le mois sacré de Ramadan, a indiqué le ministre délégué chargé des Affaires générales et de la Gouvernance, Lahcen Daoudi. L’approvisionnement des marchés marocains en produits de base sera assuré avec des prix raisonnables lors de ce mois, grâce notamment à une bonne année pluvieuse, a dit Daoudi qui présidait une réunion de la Commission interministérielle chargée du suivi de la situation des marchés et des opérations de contrôle.
*Al Ittihad Al Ichtiraki. :
- Le Conseil des ministres des 28 Etats membres de l’Union européenne, la plus haute instance décisionnelle de l’UE, a mandaté la Commission européenne pour négocier un nouveau protocole de pêche Maroc-UE incluant le Sahara marocain. Ce mandat de négociation est une nouvelle victoire diplomatique du Royaume, qui a su faire face avec sagesse et fermeté à "la guérilla judiciaire" orchestrée par l’Algérie et le polisario visant ses accords commerciaux avec l’Europe.
*Rissalat Al Oumma. :
- Le Maroc et les Emirats arabes-unis ont signé un mémorandum d'entente relatif à la coopération en matière de qualification et formation des ressources humaines. En vertu de cet accord, les deux parties conviennent de mettre en place des programmes conjoints, notamment en matière de promotion de la culture institutionnelle, des comportements professionnels, de consécration du principe de gestion basé sur les fonctions et les compétences, de gestion intégrée des ressources humaines, de valorisation de la qualification et de la formation du capital humain.
*Akhir saa. :
- Un total de 859 tonnes de produits alimentaires impropres à la consommation a été saisi et détruit durant le premier trimestre de l'année 2018 au niveau national, selon l'Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA). Les inspecteurs de l'ONSSA ont réalisé 15.680 visites de contrôle sur le marché local, dont 3.571 en commissions mixtes provinciales et préfectorales, pour contrôler 249.300T de produits alimentaires, indique l'Office dans un communiqué, précisant que 607 dossiers ont été transmis au parquet.