EMISSION DU 09/10 - par bourse news

Formation du gouvernement: Akhannouch ne veut pas perdre de temps

«Nous allons engager, à partir de ce jour, des consultations avec les partis, avec lesquels nous serons en accord dans le futur, pour la formation d’une majorité cohérente, homogène et porteuse de programmes convergents», a assuré Akhannouch dans une déclaration après avoir été reçu par le Roi

 

 

Des consultations seront engagées avec les partis pour la formation d’une majorité cohérente, homogène et porteuse de programmes convergents, a indiqué  Aziz Akhannouch, président du Rassemblement national des indépendants (RNI), que  le Roi Mohammed VI a reçu vendredi au Palais Royal de Fès et nommé chef de gouvernement.

«Nous allons engager, à partir de ce jour, des consultations avec les partis, avec lesquels nous serons en accord dans le futur, pour la formation d’une majorité cohérente, homogène et porteuse de programmes convergents», a assuré Akhannouch dans une déclaration à la presse à l’issue de l’audience que lui a accordée le Souverain.

Exprimant sa fierté pour la confiance Royale, Akhannouch, qui a été chargé par le Souverain de former le nouveau gouvernement, a exprimé le vœu que le gouvernement comprendra des membres en mesure de mettre en œuvre les grands chantiers et stratégies de Sa Majesté le Roi, ainsi que les futurs programmes gouvernementaux.

Akhannouch a, en outre, affirmé que l’audience que lui a accordée le Roi était un honneur et «que cette confiance Royale est une grande responsabilité dont nous sommes parfaitement conscients».

Sur ce registre, les principaux partis susceptibles de participer au gouvernement ont annoncé des congrès et des réunions de leur instances dirigeantes d'ici fin septembre. 

Articles qui pourraient vous intéresser

Mardi 30 Avril 2024

États financiers consolidés: un nouveau cadre réglementaire pour une meilleure transparence

Lundi 29 Avril 2024

Maroc: La valeur ajoutée agricole s’est accrue de 6,2% en moyenne en 2023

Lundi 15 Avril 2024

Les marchés financiers sont bien plus préoccupés par l'inflation aux États-Unis que par les tensions géopolitiques au Moyen-Orient