Un vent de panique auprès des employés de Samir, rapporte L'économiste dans son édition du jour. Selon le quotidien, les salaires du mois de mars n'ont toujours pas été versés. L'entreprise mise en liquidation n'a toujours pas repris l'activité de raffinage et aucune livraison de pétrole brut n'a été effectuée.