La Commission des sanctions du gendarme boursier français, qui s'attaquait pour la première fois au "trading à haute fréquence", a infligé une lourde amende de 5 millions d'euros à la fois à l'américain Virtu et à l'opérateur boursier Euronext, selon une décision publiée mardi.
La Commission, seule habilitée à prononcer des sanctions, a été plus sévère pour Euronext que les réquisitions du Collège de l'Autorité des marchés financiers (AMF) qui avait demandé une amende de 4 millions d'euros.
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