C'est ce qu'a annoncé le président du groupe, (photo), au "Sonntagszeitung''. Il dit également être favorable à un chanegement de nom du numéro 1 mondial du ciment.
LafargeHolcim annonce son intention de se retirer de plusieurs pays. Sonntagszeitung
Ainsi, l'hypothèse d'une réduction de la présence mondiale du cimentier franco-helvète a sérieusement gagné en crédibilité. ''Nous serons sans doute, à l'avenir, présents dans un nombre plus restreint de pays'', a-t-il dit, sans pour autant dévoiler l'identité de ces pays. Le groupe, actuellement présent dans 90 pays, compte procéder à une évaluation au cas par cas, "un processus long et complexe qui devrait durer jusqu'en 2018".
Regrettant la lenteur du processus d'intégration, Beat Hess s'est de surcroît déclaré favorable à un changement de nom, une opération jugée pertinente pour favoriser le sentiment d'identification de ses équipes aux cultures différentes, mais qui coûterait ''plusieurs centaines de millions de Francs Suisses'' selon ses estimations.