Le débat sur le taux de croissance prévisionnel refait surface. Comme toujours. A l’optimisme béat du gouvernement marocain, s’opposent souvent les réserves d’institutions comme le Centre marocain de conjoncture, le Haut-commissariat au plan, Bank Al-Maghrib, ou encore le Fonds monétaire international et la Banque mondiale. Pour l’exercice en cours pourtant, chose rare pour être soulignée, les prévisions établies par l’ensemble de ces institutions sont pratiquement toutes en ligne, mais c'est loin d'être le cas pour 2016.