La baisse des prix du pétrole, celle de l'euro, ainsi que le lancement d'un grand programme
d'assouplissement quantitatif (QE) par la BCE donnent un nouveau souffle à la consommation
et à la croissance dans la zone euro", résume S&P.
L'agence se veut cependant prudente pour diverses raisons. La reprise qu'elle attend ne suffit
en effet ni à combler les disparités de production entre les différentes économies de
l'eurozone, ni à inverser durablement les courbes du chômage.